Montréal

Nouvelles

Le Coup de Pelle du Dix Huit Juin

07-08-2012

Le Coup de Pelle du Dix Huit Juin.

         Par Éric E.G. NOGARD             

 

« Cette guerre ayant pris la dimension d’Un fléau Universel.

Qui peut dire, qui de PÉTAIN, qui de De-GAULLE, l’a Gagnée.

 

N’est-ce pas aux ALLIĖS, Américains, Canadiens, Anglais, Polonais… d’en revendiquer la Victoire, sans Omettre les Français de l’Empire.

 

De l’Empire Français sans la moindre exclusive, évidemment.

 

Qui peut oser dire qui l’a perdue côté Français, de Charles De-GAULLE, de François DARLAN, de Henri GIRAUD, de Philippe  PÉTAIN, de Maxime WEYGAN, ou de qui que ce soit d’autre, y compris les Politiciens de Profession…

 

Léon BLUM, Édouard DALADIER, Édouard HERRIOT… Les Principaux Ténors, DALADIER qui mit la France en Guerre quand elle n’y était pas préparée.

 

Pierre LAVAL, dont le retour au pouvoir coïncida avec la mise en place, par les Nazis, d’un plan de déportation des Juifs.

 

Albert LEBRUN (1871-1950), Homme d’État Français. Plusieurs fois Ministre (1911-1920), puis Président du Sénat (1931) il fut Président de la République (1932-1940), il se retira de la Vie Politique après la Défaite de Juin 1940. 

 

La Paix étant signée et la Guerre oubliée, quelle rage avons-nous donc de nous chercher des Poux dans la Tête.

 

Et Surtout-surtout, qui sont donc ces Chercheurs de Poux ».

 

(Ä–ric E.G. NOGARD)

 

 

***     ***     ***

 

 

Le Dix Huit Juin Mille Neuf Cent Quarante eût lieu un Coup de Pelle, on l’appela l’Appel du Dix Huit Juin.

 

Un Appel historique et des plus Éclatants, au point de rendre sourd à tout ce qui n’était de lui.

 

L’Action d’Éclat.

 

Tout le reste s’en suivit, on s’y est reconnu, on s’en est enhardi et dès-lors, la chose était gagnée, l’ennemi était vaincu à la Force de nos Poignets.

 

Ainsi avons-nous retrouvé tout ce que nous avions perdu, même ce qu’on nous avait volé du meilleur de nous même.

 

 

Bouté comme il le fut hors de nos Frontières, l’Envahisseur n’existait plus, nous avons tout retrouvé, même notre vantardise, grossie en manière de dividendes d’une grosse part d’Ingratitude à l’égard de ceux grâce à qui, nous sommes peut-être en vie.

 

Ils ont arrêté l’effusion, pour avoir combattu, pour avoir beaucoup fait pour nous sauver d’un Fléau certainement pire qu’aucun autre, le Bolchevisme Conquérant.

 

 L’Appel du Dix Huit Juin, l’Obus de la Victoire.

 

 

Quant à celui qui a empêché le Massacre et la Ruine pour que Vivent les Français, pour que Vive la France.

 

Quant à celui qui a empêché le Massacre et la Ruine pour que Vivent les Français, pour que Vive la France, un Procès infâmant et la Prison pour toute Récompense.

 

Tout lui fut reproché :

 

  • L’impréparation de la France au Combat quand peu avant les Français vantaient leur Ligne Maginot et concluaient fièrement d’un ton provocateur : « Sommes-nous défendus.

 

  • La Paternité de l’Ignominie du Vel’ d’Hiv, comme si la moindre initiative de cette nature lui était permise en sa Qualité de Vaincu « Encadré » par son Vainqueur qui, au demeurant tenait en Haute Considération le Vainqueur de Verdun.

 

  • La Paternité de l’Ignominie du Vel’ d’Hiv, comme si la Logique la plus Élémentaire et aussi la Plus Fine pouvait expliquer que le Vainqueur consente à achever la sale besogne initiée par le vaincu.

 

  • La Paternité de la Saloperie du Vel’d’Hiv, comme si la place manquait à ce point dans la France Occupée, pour que l’occupant aille achever chez lui, à ses Frais, à sa Honte ce à quoi il pouvait répliquer : « Pour qui me prenez-vous, allez donc vous faire Foutre ».

 

 

Tout lui fut reproché jusqu’à sa devise « Travail, Famille, Patrie » quand nul n’ignore aujourd’hui l’état du Travail, la situation de la Famille, sauf que nous prenons l’Europe pour la Nouvelle Patrie, plus Vaste, plus Sûre, que nous devons aussi au Vieux Docteur ADENAUER, un SAGE à ne pas oublier.

 

Tout lui fut reproché, sauf la raison qui fait qu’on le Haïsse de façon morbide :

 

Philippe PÉTAIN sut interdire la Franc-Maçonnerie devenue aujourd’hui le Pouvoir de Choix et de Décision en FRANCE.

 

 

Quant au Général Henri GIRAUD.

 

Quant au Général Henri GIRAUD, Combattant celui-là, Blessé, fait Prisonnier, Évadé, Coordinateur des Forces Combattantes d’Afrique du Nord, Investi de la Confiance de nos Amis au nombre des plus Sûrs, les Américains.

 

Quant au Général GIRAUD, quelle place lui a-t-on faite dans les Mémoires.

 

 

« Martinique Province Française » n’est pas Exhaustive en ce Rappel.

 

Elle se veut seulement incitative d’un effort de plus Grande Probité dans le Domaine de l’Histoire.

 

Le Coup de Pelle du Dix Huit Juin Mille Neuf Cent Quarante ne dit pas tout, il a bien ramassé cependant.

 

 

EN DEFINITIVE.

 

Comme on le voit, n’est-ce pas faire INJURE à l’HISTOIRE que de considérer la Guerre de 1939-1945 sous les seuls Projecteurs de l’Armistice demandé par PÉTAIN, et l’Appel du Dix Huit Juin suivi de la « Descente des Champs Elysées ».

 

N’y-a-t-il pas, en offense à l’Histoire qui se veut une Science, trop de Points Obscurs voulus tant par les États d’Âme, les Conflits d’Intérêt, le Vent du Bolchevisme sur le Chauvinisme d’Idéologie, l’Ambition Personnelle d’une part et l’Action Purificatrice des Français comme des Alliés animés du Sens le plus Noble de la Liberté et de l’Humanisme, enfin.

 

A moins d’y réfléchir, à quoi bon se chercher des poux dans la tête.

 

Remarque : Nos chroniques expriment l’opinion de « Martinique Province Française », un Mouvement Français dont la consistance se confirme de jour en jour.

 Albert LEBRUN
Président de la République Française (de 1932 à 1940).

                                                                                                 

 

 

 

 

 

                                                                                                                                                                                                           Ėdouard DALADIER (1884-1970)

Amiral François DARLAN


 

 

 

 

 

 

                                                                                                                                                                                      Capitaine Maxime  WEYGAND  

 Léon BLUM (1872-1950)                                                                                                                 

Ėdouard   DALADIER     (1884-1970)
                                                                 

                         

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