Avis et Préférence contre Apologie et Incitation
Eric E.G. NOGARD
Il est des circonstances où manquer de culture et de savoir se ressent avec douleur comme se ressent avec consternation la constatation de maladie de carence.
Ainsi, comment distinguer entre donner son avis, son humble avis et faire l’Apologie de quoi que ce soit, de qui que ce soit, de quelque façon que ce soit et où que ce soit.
Peut-être un Philosophe, peut-être un Sociologue, peut-être un sage (tout simplement) pourrait en l’occurrence se révéler d’un grand secours en la matière. Même, mieux que peut-être, certainement… absolument.
Hélas, quel Philosophe, quel Sociologue, quel Sage voudrait y consentir, vu le cas qui nous préoccupe au plus haut point.
En ceci, ne pourrait-on pas dire que, tel le Gendarme de la chansonnette, le Philosophe, le Sociologue et le Sage ne sont jamais là , quand on les y attend…
De même, comment distinguer entre Exprimer une Préférence à titre strictement Personnel et Faire un Incitation, à Inciter à Faire, à Pousser à Faire… Inciter qui, pousser qui, à faire quoi et, pourquoi, et pour quoi, pour quel profit…
La encore la Voix d’un Philosophe serait bonne à entendre, la Voix d’un Sociologue serait très opportune et la Voix d’un Sage serait fort appréciée… Comme celle d’un Dictionnaire, d’un d’ALEMBERT voire d’un VAUGELAS, d’un Académicien.
De même, hélas, quel Philosophe, quel sociologue, quel Sage se risquerait à Libérer sa Voix dans un tel Champ de Mines qu’une MOB de Fanatiques sourds, aveugles, prêts à tout casser. Une MOB en Délire, au bord de la Transe, voulant imposer sa Rule.
Une MOB déchaînée, ignorante de l’Apocalypse à laquelle elle s’expose.
Manquer de Culture, manquer de Savoir, manquer de Philosophe, Manquer de Sage…
Autant dire manquer d’eau, manquer de pain, manquer de lumière, manquer de Paix.
Autant se dire abandonné, perdu, à moins qu’un Juge n’apparaisse et se prononce au point qu’on se dise au plus profond de soi-même :
« Merci Bon Dieu, tu ne m’as pas abandonné ».
Avis et préférence… Apologie et incitation… sans rien considérer d’autre.
De l’Avis.
Dans la mesure où un avis peut être :
- Un point de vue intime, personnel.
- Une annonce publique.
- Une opinion exposée officiellement par un Organisme Consulté.
Quelle définition convient le mieux aux Crimes reprochés à Monsieur Alain HUYGUES-DESPOINTES.
De la Préférence.
Dans la mesure où, avoir une Préférence c’est préférer, c’est aimer mieux.
- Quel Crime y a-t-il à aimer mieux.
- Qui n’a jamais dit j’aime mieux le lait au café ou le café au lait.
- Quel Crime y a-t-il à Préférer.
D’ailleurs, Préférer dépend-il de soi, au Philosophe de le dire.
Quel Humaniste n’a exprimé une Préférence, s’en est-il senti coupable, même s’il l’a payé du pilori, de la Croix, du Bucher.
Reste qu’à cet égard, aujourd’hui, nous nous disons Civilisés.
De l’Apologie.
L’Apologie consistant en un discours ou, en un écrit au public, ou en public pour la défense ou l’éloge de quelqu’un ou de quelque chose.
L’Apologie est-elle établie et peut-elle être retenue dès lors qu’il n’est prouvé ni discours en public, ni écrit au public de la part d’un prévenu d’Apologie.
S’il en était ainsi, quelle « TOUR » ne devrait prendre garde à elle, car nous en serions au MOYEN ÂGE.
De l’Incitation.
Inciter, c’est encourager, inviter, pousser quelqu’un à faire ou à dire quelque chose.
En quoi Monsieur Alain HUYGUES-DESPOINTES a-t-il invité, encouragé, poussé qui que ce soit à faire ou à dire quoi que ce soit.
Seul pourrait y répondre le Journaliste coupable et responsable du reportage sur CANAL +, au risque de provoquer la guerre civile.
Ce Journaliste n’a pas été appelé a Témoigner.
Sa hiérarchie ne semble pas s’en être émue.
L’Ordre de sa Profession ne semble pas s’en être soucié.
Sa conscience ne semble pas l’avoir interpellé.
A ce jour il n’a pas répondu à notre indignation.
Rappelant que tout Tort Public réclame REPARATION PUBLIQUE, nous accusons ce Journaliste de tout le mal fait par sa faute à Monsieur Alain HUYGUES-DESPOINTES.
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