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Était-ce pour Humilier, en tout cas Il l’a dit !..

06-08-2017

Était-ce pour Humilier, en tout cas Il l’a dit !..

« On peut toujours mourir dans son lit, Convaincu et satisfait d’avoir été juste et bon.

Cependant, combien d’autres partagent cette idée qu’on se fait si généreusement de soi-même ».

Éric EG Nogard

Chroniqueur.

*** *** ***

Était-ce pour Humilier, en tout cas Il l’a dit !..

F1 : Hélas Votre Honneur, les Faits sont là !..

OCCOLIER l’a écrit, rapportant les propos de LAOUCHEZ et commentant le Verdict d’Exclusion entrepris contre nous.

Personne ne croit à leur Jugement … n’est-ce pas incroyable.

Cependant,

Oui, il l’a dit, et il l’a même écrit, nous en donnons la Preuve.

Lui, le Président in tempore de l’Association des Maires de la Martinique, alors que ce Territoire était encore un Département Français, donc partie intégrante d’un Pays de Droit.

Lui, le Porte Parole par excellence de la Voix du peuple, donc de la Vox Dei, dans la mesure où il était le Maire des Maires pour avoir été Élu à leur tête par ses Pairs, comme Président des Maires.

Lui, il a dit : « A moins d’être en Lybie, un semblable Jugement relève de l’incroyable ».

Oui, il l’a dit, et même, il a écrit,

Comme en voici la preuve :

« Je trouve surprenant qu’un employé soit exclu d’une entreprise pour avoir simplement » poussé la porte de ce Directeur alors qu’il tenait  une Conférence ».

Je trouverais cela normal en Lybie… »

Était-ce pour marquer son indignation au vu d’un tel Verdict rendu par des Magistrats Prud’Homaux.

Résumons donc les Coups portés par OCCOLIER :

  • Et d’une, du 29/10/2011 :

Je suppose que votre épouse vous a signalé que je vous ai appelé.

J’ai informé Maurice LAOUCHEZ que je compte vous demander des explications sur les graves accusations que vous portez à son encontre, dans vos Chroniques.

Il m’a indiqué que vos propos n’ont aucun fondement.

Que vous devriez faire attention aux risques auxquels vous êtes susceptible de vous exposer dans un État de Droit.

  • Et de Deux, du 30/10/2011 :

Je Confirme qu’il m’a dit que vous avez fait des choses graves dans l’exercice de vos fonctions, cependant il ne m’a donné aucune précision.

  • Et enfin, toujours du 30/10/2011 :

J’ai bien entendu prononcer « Louche » la 1ère fois et « Grave » la 2iéme fois.

Par contre, je trouve surprenant qu’un employé soit exclu d’une entreprise pour avoir simplement « poussé » la porte de ce Directeur alors qu’il tenait une « Conférence ».

Je trouverais cela Normal en Lybie ;

Je trouve aussi surprenant que l’employé ait accepté son renvoi…

Ce qui nous renvoie à l’Affaire des Trois Horace,sous le règne de Tullus Hostilius.

  • Sans Compter la Lettre de Stanislas QUITMAN, trop Subsidiaire pour qu’OCCOLIER en fasse le Commentaire.

Nous en reproduisons le Texte ci-dessous, pour Mémoire.

===

Stanislas QUITMAN

Ancien Directeur du

Crédit Agricole de la Martinique Fort-de-France, le 2 Octobre 2011

33 rue de la Guyane

Cluny

97200 Fort-de-France

Tél. : 0596 718899

Port. : 0696 244178

à

Monsieur Éric NOGARD

24 rue Osman Nadeau

Voie n° 3 ravine-Vilaine

97200 Fort-de-France

Objet : Réponse à votre Courrier de Septembre 2011.

Mon cher Éric,

J’ai bien reçu votre précieuse documentation dans laquelle vous mettez au grand jour, le vrai visage d’un homme qui n’a toujours pas compris, qu’il gagnerait à se faire oublier.

J’apprécie votre courage pour oser mettre sur la place publique les faces cachées d’un personnage aussi inqualifiable, n’ayant peur de rien, allant jusqu’à penser que le peuple martiniquais n’aurait pas de mémoire.

Malheureusement pour lui il s’est souvenu et seulement 22 Grands Électeurs sur 859 ont cru devoir porter leurs suffrages sur son nom. Ce qui représente pour lui un exploit pour la plupart une honte.

Pour avoir été votre premier employeur dans votre vie professionnelle bien éphémère, je mesure aujourd’hui le poids de votre chagrin, je comprend aussi votre amertume, et surtout j’apprécie votre courage et votre dignité pour continuer votre traversée du désert, la tête toujours haute, face à la méchanceté aveugle d’un homme.

Convaincu que vous êtes que la Justice immanente un jour se manifestera, vous espérez et vous croyez.

Dans votre courrier, vous affirmez des vérités qui blessent. Certains les assimilent à de la diffamation devant laquelle l’accusé n’ose pas réagir ou attaquer.

Avec le recul du temps j’ai encore la chance de pouvoir mesurer mon parcours tant civil que professionnel et contempler ainsi l’œuvre créatrice dont vous pouvez porter témoignage du Crédit Agricole à la Martinique.

Lorsqu’en 1963 je fus accueilli par une vingtaine d’employés qui crurent en moi, de la décentralisation du réseau bancaire, à l’informatisation du système, en passant par l’antillanisation des cadres, l’une de mes ERREURS aura été ce recrutement.

L’ingratitude, l’ambition, l’orgueil, auront été les trois mauvais compagnons qui envahissaient cet homme et que je n’ai pas su déceler, malheureusement pour moi.

Aujourd’hui fort de ma distinction honorifique d’

Officier de la Légion d’Honneur,

Que j’arbore avec fierté et mérite, je ne peux pas rougir de cette œuvre réalisée :

Un Crédit agricole digne de ce nom, passant de la neuvième place à la première sur l’échiquier dès 1979, faisant aujourd’hui honneur à notre Martinique, pour l’avoir forgé de toutes pièces depuis le terrain qui accueil son siège actuel jusqu’à son plan architectural, il y a de quoi être fier.

Je reviens à votre situation personnelle et n’arrive pas à comprendre le degré de méchanceté de cet homme à l’égard de son semblable, privant toute une famille du pain quotidien, et croire que tout cela restera impuni.

Le Grand Architecte de l’Univers, n’épargne rien de ce qui se fait sans lui, et veille sur tout, récompense tout mais aussi punit tout.

Je demeure convaincu de votre bonne foi, m’incline devant votre courage et respecte votre détermination que je ne peux qu’encourager.

Je prends la résolution de m’équiper, pour suivre avec confiance et régularité le combat que vous poursuivez et pour lequel je suis sûr que vous gagnerez.

Par votre entremise, j’adresse à Madame votre Mère, ma grande amie de longue date « Lili » mes baisers les plus affectueux, avec tous mes encouragements à poursuivre son combat pour la Vie, qu’elle gagnera elle aussi j’en suis sûr.

A toute la famille je présente l’expression de mon profond respect et mes Vœux de réconfort et d’encouragement.

Le Hasard n’existe pas, car le jour où nous nous sommes retrouvés, aura été pour moi, celui qui m’aura permis de retrouver un homme de courage de volonté et d’honneur dont je suis fier et que je continuerai à suivre dans son évolution.

Ma porte vous restera toujours ouverte.

Bon courage, persévérez et espérez,

Vous vaincrez.

Stanislas QUITMAN

 

===

 

 

Alors l’ami OCCOLIER.

Était-ce pour nous Humilier comme tant d’autres se sont complus à le faire, nous convoquant sous prétexte d’un entretien préalable à un possible emploi, quand il ne s’agissait pour eux que de Torturer un animal exotique, rien que pour le voir souffrir et peut-être mourir.

Était-ce pour nous Humilier où pour jouer avec Zèle les Redresseurs de Torts.

Jugez donc de la Portée de cette observation :

« Donc, on vous aurait mis à la porte de cette façon, rien que :

« Pour avoir simplement » poussé la porte de ce Directeur alors qu’il tenait  Conseil » ».

Vous aurez un Emploi, dès-lors que nous parviendrons à y croire ».

N’est-ce pas ça du beat to death de la Pire Cruauté.

A l’Opinion d’y répondre.

Messieurs de la Magistrature Prud’homo-judiciaire ayant à s’expliquer – s’ils le veulent bien – sur le Fait que le Premier des Magistrats Communaux ait pu écrire cette sentence à l’égard de leur Verdict dans l’Affaire Prud’Homale NOGARD Contre LAOUCHEZ (CRCAM) Référence de l’Arrêt du 24/02/94 Cour d’Appel de la Chambre Sociale de Morne Tartenson, Fort-de-France, Martinique : 989/91.

« Un tel Jugement pour un pareil Délit…il faudrait que l’on soit en Lybie ».

Donc, toute une Vie de Martyr à cause de Vous, Messieurs les Magistrats.

A cause de votre Verdict importé de Lybie, imité des Lybiens !..

Qu’avez-vous à en dire, que vous resterait-il à faire.

Nous jeter en Prison pour Outrage à Détenteur de la force Publique dans l’exercice du Bon Droit ?

Ou Convenir qu’une Injustice a été Commise, qu’elle est Vivante dans ses effets de destruction et qu’il vous incombe d’en tirer les Conséquences.

Vous faisant observer que la présente n’aura été possible qu’à la faveur de la Décision de l’Actuel Président de la République Française d’Assainir notre Mentalité et nos Mœurs, n’est-ce pas à vous de jouer, Messieurs les Magistrats.

Éric EG Nogard

Chroniqueur.

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Nota : Nous ne traitons que de Faits et de Noms rendus Publics.

N.B.:Nous Recommandons instamment et systématiquement l’ouverture de la (ou des) pièce(s) jointe(s) à l’e-mail, sous format Pdf, les illustrations y sont incluses.

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