Montréal

Nouvelles

Maréchal, nous voilà.

12-11-2015

« Notre Métier n’est pas de faire plaisir, Non plus de faire tort à qui que ce soit, Ni pour quoi que ce soit, Il est de porter la plume dans la plaie ». (Albert LONDRES).

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Maréchal, nous voilà.

Marshall, here we are.

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Tant de couronnes, de fleurs et d’écharpes tricolores sur la Tombe d’un « Déchu ».

N’est-ce pas la confession de qui l’a bien connu pour avoir été Ministre sous son Autorité.

N’est-ce pas une Interpellation de la France, par la voix de son Président François MITTERRAND.

Dès-lors, à moins d’être sourd ou de feindre de l’être,

La Cause est entendue.

 

Éric E.G. NOGARD

Chroniqueur.

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Maréchal, nous voilà.

Marshall, here we are.

F1: La FAYETTE, nous voila!

 

 

Maréchal, nous voilà. Marshall, here we are”. Ce mot là, le Général John PERSHING l’a prononcé avant nous, au Cimetière de Picpus à Paris, sur la tombe de La-FAYETTE, l’un des Fondateurs de Fait de la Nation Américaine que sont les États-Unis d’Amérique, les U.S.A.

Ce mot là, Nous le prenons pour bien de nous qui n’avons pas choisi de le dire parce qu’un autre, si illustre soit-il, l’a prononcé, fût-il PERSHING ou le Lieutenant-Colonel Américain Charles E. STANTON dit-on.

Il est venu du plus profond de nous-même, en réponse à l’anathème jeté sur le Maréchal Philippe PÉTAIN, en réponse à l’Ostracisme entretenu à l’encontre de sa personne comme de sa Mémoire.

« J’ai fait don à la France de ma Personne »dit-il à son Procès.

And so did He.

 

 

 

F2 : La France me l’a demandé, je lui ai fait Don de ma Personne.

 

 

Qui peut en disconvenir, aujourd’hui qu’enfin le voile s’est un peu levé à travers son Procès révélé au Public par « France 5 », ce Médium bien connu.

Nous avons eu, quand son Nom était Tabou, à parler dans nos Chroniques :

  • Du Vainqueur de Verdun.

  • De la Victoire de 1918 qui fut celle de PÉTAIN-PERSHING.

  • De la fulgurante percée des PANZER de ROMMEL tout autant que de la vanité de la Ligne MAGINOT et de la Reddition de Dunkerque.

  • Nous nous sommes risqués à dire que l’Allemagne conduisait ses Guerres avec Rigueur certes, mais aussi avec Chevalerie.

 

  • Que l’Allemagne réglait ses Comptes sans Procès ni semblant de Procès.

Et, maintenant, parlons de Collaboration en gardant à l’esprit ce que serait la France, sans le Maréchal PÉTAIN donné pour Collaborateur quand les « Collabos » ne sont pas Lui.

F3 : Une Noblesse imperturbable sous les coups les plus bas.

  • Nous dira-t-on qui a soumis pour ratification à Paul REYNAUD, Chef de Gouvernement sous la Présidence d’Albert LEBRUN, l’Acte de Fusion Anglo-Française, sous la Union-Jack.

REYNAUD pris de frayeur démissionnant dès-lors, laissant le Job au Maréchal PÉTAIN.

La France existerait-elle alors si ce Projet de Fusion s’était réalisé.

  • Nous dira-t-on dans quel état d’Exode et de Capitulation nous nous trouvions, Civils ou Militaires, Jeunes ou Vieux, Hommes ou Femmes, Valides ou pas, sur les Routes de France.

Dès-lors, qu’eût pu faire le Maréchal PÉTAIN, nonobstant les fleuves de sang qu’il a su éviter.

  • Nous dira-t-on qui a suggéré l’installation en Algérie du Gouvernement de la France Libre.

F4 : Albert LEBRUN, Paul REYNAUD, Édouard DALADIER, Léon BLUM, le sous secrétaire d’État au Ministère de la Guerre, En quoi auraient-ils fait le poids sans les U.S.A.

N’était-ce pas déjà vouloir chasser la mère poule de ses poussins devenus dès-lors des Victimes Expiatoires, les poussins tout autant que la poule.

Que serait-il advenu du Peuple de France ainsi abandonné aux marées et aux vents, par son Gouvernement, pour l’improvisation de quelle riposte.

La France serait-elle encore la France si PÉTAIN n’avait tenu comme il le fit à Verdun puis enfin en Dix-huit, mettant fin à la Guerre dite « la Grande ».

  • Nous dira-t-on deux mots de ces témoins à charge que furent les REYNAUD, DALADIER, LEBRUN, BLUM et Consorts.

Dans leurs Coups de Gueule, ils n’ont pas leur pareil, pas plus qu’ils n’en ont eu dans leur Dérobade quand la France comptait le plus sur eux.

  • Nous dira-t-on sur qui PÉTAIN pouvait compter pour Gouverner, les Ténors Politiques dans ce drame, ayant fui comme des Lapins de Garenne la France de Vichy où leur présence s’imposait.

F5 : Sachons entendre ce que disent les images, l’image est un Medium !.. pour une bonne Confession.

Réfléchissons donc sainement au Cas PÉTAIN et sans nul doute nous serons Unanimes pour réclamer sa Réhabilitation par ce Cri :

« Maréchal Philippe PÉTAIN, Nous Voilà ».

« Marshall Philippe PÉTAIN, He we are ».

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Ne Peut être reproduit – même partiellement – sans l’autorisation de l’Auteur.

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Nota : Nous ne traitons que de Faits et de Noms rendus Publics.

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N.B.:Nous Recommandons instamment et systématiquement l’ouverture de la (ou des) pièce(s) jointe(s) à l’e-mail, sous format Pdf, les illustrations y sont incluses.

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