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Si PÉTAIN l’est, ne le serions-nous pas ad fortiori.

18-05-2015

Si PÉTAIN l’est, ne le serions-nous pas ad fortiori.

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Si PÉTAIN l’est, ne le serions-nous pas Ad Fortiori.

 

Éric E.G. NOGARD

Le petit Chroniqueur.

 

 

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F1 :Sa devise était « Travail, Famille, Patrie »… Avec la Grâce de Dieu.

Condamné au Vade in pace pour avoir Collaboré avec son Vainqueur, il y mourût dans l’infamie, radié de l’Académie Française et radié de la Dignité Nationale.

Si l’erreur est humaine, ses Juges ne se seraient-ils pas trompés d’une façon ou d’une autre.

Rappeler sa Mémoire est un tabou, interroger sur ses torts est le plus sûr moyen de s’exposer à l’excommunication, cette sentence qui vous bannit de Dieu lui-même.

En tout cas, n’est-il pas rejeté par l’Histoire qui jamais ne se prononceex-professosur les faits qui ont causé sa perte.

Des faits trop mal connus dans leurs tenants et aboutissants et qui nous obligent à dire comme l’autre :

Sed hoc non videtur mihi satis certum.

Cela ne semble pas assez certain.

Aussi, en sommes-nous réduits à des supputations, dans l’attente que la vérité sur PÉTAIN se dise et soit connue sans la moindre ambiguïté ni la moindre zone d’ombre.

Eu égard au peu que nous en savons sur les raisons ou sur les prétextes, tant de sa condamnation à mort par le Tribunal Militaire, sous la Présidence du général De-GAULLE, que sur la Grâce Présidentielle en vertu de laquelle cette Condamnation à la Peine Capitale fut commuée en Emprisonnement à Vie.

Nonobstant tout ce que nous pourrions devoir, ad vitam aeternam, dans tous les siècles des siècles, au Vainqueur de Verdun.

Que savons-nous d’autre sur le Maréchal PÉTAIN que ces quelques réminiscences :

  • Il fut investi par le Gouvernement Français de la lourde charge d’assumer les avatars d’une guerre à laquelle la France ne s’était préparée qu’à coups d’esbroufe derrière une Ligne Maginot contournable sans danger par l’envahisseur… ce qui fut fait, le temps du clignement de l’œil.

F2 :Sommes-nous défendus… remember !

  • Devant la certitude d’une piteuse défaite assortie de morts innombrables dans une effusion de sang dont la France ne se relèverait jamais, il dut se résigner à un armistice qui faisait de lui un Vaincu sans lui ôter l’espoir que lui permettait sa confiance en une revanche grâce aux Alliés de la France… ce qui n’a pas manqué, n’en déplaise aux ingrats.

 

                                                        

F3 :Le Jour le plus long… qu’il savait inéluctable.

 

Néanmoins,

Un Vaincu n’est-il pas un Vaincu.

F4 :Comparution…Qui eût pu mieux que lui, dans une telle tourmente.

Un Vaincu n’est-il pas astreint au bon ou au mauvais vouloir de la personne ou de l’entité physique ou morale ayant autorité sur lui.

Il est vrai que pour se risquer dans ce domaine, il faut avoir la rage de la polémique en pleine Tour de Babel, en plein milieu d’un champ de mines, cependant, une telle situation ne serait-elle pas génitrice de Sycophantes tous convaincus d’être des héros du maquis comme de la résistance… les sauveteurs et combien davantage, les sauveurs de la Patrie.

Que les Sincères nous pardonnent ce Coup de Colère, nous ne voulons en rien offenser, ni leur Courage, ni leur Mémoire, ni leurs Souvenirs.

Nous avons grand soin de les distinguer des usurpateurs de tout poil.

Notre sang a coulé pour la France.

Et que peut le Vaincu pour tempérer les phobies de son Vainqueur, selon nous, pas grand-chose…

Qui pouvait quoi contre NÉRON et quel Français peut nier l’attention qu’avait HITLER, depuis bien avant 1939, à l’encontre de certaines Communautés comme de certaines Races et de ce qu’il prenait pour une tare.

Qu’y pouvait le Maréchal PÉTAIN.

Et que pouvait-il contre les opportunistes profiteurs véritables vautours, ou contre les ambitieux prêts à toutes les Compromissions pour aboutir au Pouvoir.

En tout cas, si PÉTAIN a collaboré avec HITLER, VERCINGÉTORIX ne l’aurait-il pas fait avec CÉSAR.

F5 :Un mot d’adieu…toujours d’actualité.

Et en tout cas, dans la mesure où la situation du Vaincu n’est pas celle de l’Homme Libre dans un État Souverain, nous doutons fort, eu égard aux faits d’actualité qui nous concernent, que nous soyions moins Collaborateurs que PÉTAIN, s’il en était un.

Éric E.G. NOGARD

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Nota : Nous ne traitons que de Faits et de Noms rendus Publics.

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N.B.:Nous Recommandons instamment et systématiquement l’ouverture de la (ou des) pièce(s) jointe(s) à l’e-mail, sous format Pdf, les illustrations y sont incluses.

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