Torrid or stoical Summer time.
 
 Par Éric E.G. NOGARD
« Je l’ai reçu ce matin et je ne peux résister au devoir de le transmettre, ce tee-shirt de l’été 2013 dans l’Hexagone.
« Je n’ai pas besoin de Sexe
Mon gouvernement me baise tous les jours. »
Plaise au vent d’en souffler mot à nos illustres dirigeants.
Et de même, tellement elle est bonne !..
Tellement elle est bonne que plus on y pense, plus on trouve dans l’air du temps, cette sidérante nouvelle que nous apprend l’l’A.F.P., en ce matin du 12 Juillet 2013.
Le Pôle Emploi aurait, au cours de l’année 2012, reversé « par erreur », près de 812 millions d’euros d’indemnité à « un » bénéficiaire dont l’identité resterait pour l’instant inconnue.
Et si, au lieu de chercher la poche qui a empoché, nos éminents investigateurs s’intéressaient à la main qui a ordonné, peut-être découvriraient-ils que la main et la poche sont tout simplement et « pèpèrement » installées à leur poste au Fameux Pôle Emploi, sans que personne ne s’en émeuve, la mode semblant être au « je te tiens et tu me tiens par la barbichette » cette chansonnette futuriste du bon vieux temps.
De toute façon, un coup pareil, dans la mesure où il tient beaucoup plus du « casse de génie » que de la toute simplette « ingénuité », si prompte à se défendre « c’est pas ma faute », chaque fois que le doigt se fait prendre là où il ne faut pas, dans le pot de confiture d’oseille, par exemple.
De toute façon, un coup pareil, dans la mesure où, pour être un accident, il n’a rien d’accidentel, de même que, pour être accidentel, il n’a rien d’un accident : plus on y pense, moins on a lieu de se creuser les méninges.
Aussi félicitons-nous, non pas Jean-Louis WALTER, Administrateur du Pôle Emploi, pour son explication au Gorafi, selon laquelle la 
personne qui a – non pas qui aurait – empoché les cerises, aurait – non pas a – quitté le verger pour clause de précaution.
Alors, il court, il court, le furet, et qu’on lui courre après, comme si l’argent se gagnait par erreur comme s’il était question de fair-play, super ou pas, selon le cher WATSON, ce vieil ami de HOLMES.
Tellement elle est bonne, cette histoire, que moins on peut croire qu’à cette 
allure, la France puisse se relever un jour de la Mandragore que lui font prendre dans sa tisane, les Amboise PARÉ qui grouillent à son chevet.
Plus on y pense, davantage nous revient à l’esprit le célèbre MANDRAKE, le roi de la magie, qui seul pourrait sortir notre Économe Écureuil, de la situation que voici, sans le moindre commentaire.
Le voilà pris, autrement que par la barbichette.
       Bon Summer Time à tous.
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