Montréal

Nouvelles

Dévoluer aux uns, ce qui est dû aux autres.

25-05-2018

Dévoluer aux uns, ce qui est dû aux autres.

 

Éric EG Nogard

Chroniqueur.

***     ***     ***

 

Dévoluer aux uns, ce qui est dû aux autres.

Voilà qu’il est soulevé un Problème d’Écoles en matière de Destination des Fonds Publics, dans le cadre des Droits Conférés par l’Autonomie à un Territoire vis-à-vis de l’État son Tuteur.

Que Cicéron nous aide à y voir Clair.

 

F1 : Qui dit Protectorat dit Protection du Peuple

Ou Carte Blanche au Péculat.

La Partie Autonome, selon l’une de ces Écoles, serait Souveraine dans la Redistribution et la Répartition sans la moindre Exclusive, des Fonds qui viendraient à tomber dans sa Caisse, peu importe aux dépens de qui, peu importe pour quoi. 

 

 

F2 : Voilà pour Vous : nous l’avons arraché de Haute Lutte, pour vos Écoles, vos Hôpitaux, vos Retraités, et pour la Justice Sociale, votre Transport Collectif etc…

 

 

La Partie Autonome se voyant libre de dévoluer aux uns ce qui est dû aux autres, en toute Liberté, dans le plus Grand Arbitraire dans la plus Grande Confusion.

Et à cet Exercice de Cavalerie, permettre, l’évanescence de Sommes Considérables aux Dépens de la Communauté des Citoyens.

F3 : Comme si le Facteur…

Comme si le Facteur pouvait selon sa fantaisie remettre à qui bon lui semble, le courrier et les colis qu’il doit distribuer, « égarant au passage », dans sa poche, bien des « Lettres Chargées ».

N’est-ce pas ainsi que bien des Secours « Échappent » à leur Légitime Destinataire.

Et certains « accidents de parcours » donnant lieu aux explications les plus filandreuses et absconses de la part de ceux qui sont pris la main dans le sac… d’où des Procès interminables finissant tous en queue de poisson… disinit in piscem.

La Partie Autonome, selon l’autre École, ne devrait avoir la main libre, que sur les Fonds qu’elle aurait Générés par son Labeur et ses Ressources Propres.

Les Avanies du Pupille – jusqu’à ses moindres Larcins – étant reprochables à son Tuteur, à son Autorité de Tutelle.

F4 : Ce que nous vivons, ce n’est pas une Crise… C’est une Escroquerie.

         Le Doute nous paraît Mince !..

Inutile de se poser la question de savoir dans quelle École se situe le « Cri d’Alarme » qui considère qu’en matière de  Bon Droit, les Fonds Versés par le Tuteur – en l’occurrence, par la France ou par l’Europe – pour les Hôpitaux, les autres Services et Structures de Bien Public, ne devant en aucun cas Alimenter la Roulette des Casinos et autres Labyrinthodontes Modernes, mais devraient être Protégés par le Fidéjusseur et le Contrôle Vigilent des Généreux DONATEURS.

Procéder autrement étant le plus sûr moyen qui soit d’ouvrir la porte à la Pêche en Eau Trouble, à l’inciter consciemment ou pas, à s’en faire le Complice en tout cas, aux dépens du DONATAIRE… de la Communauté.

Ce qui revient à dire que la Tutelle Franco-Européenne peut-être prise pour Coupable au même titre que les Vautours du Territoire Autonome, de la Confusion si propice au Péculat, dans l’Aide prétendument apportée aux Populations qui n’en voient même pas la Couleur et n’en prennent ni l’odeur, encore moins le goût… mais en font terriblement et inexorablement les frais

 

F5 : – Toutes vides ?.. Comment est-ce possible !

         Kon si direz ou pas sav pou ki.

Comme quoi, l’Autonomie ne devrait pas permettre certains laisser-aller, elle ne devrait pas être synonyme de Laisser-faire dans l’Affectation des Fonds Publics obtenus du Tuteur du Territoire ou de quelqu’autre Bienfaiteur à des fins bien précises.

Ce serait Cautionner, voire Sponsoriser la Corruption, le Vampirisme si néfaste au plus grand nombre.

F6 : Le Vampirisme si néfaste au plus grand nombre.

L’Arbitraire de telles Affectations n’est-il pas Géniteur des Détournements de Fonds que nous semblons ne pas pouvoir maîtriser… et pire, qui semblent nous étonner.

La Martinique se meurt de son Autonomie qui vole sans contrôle, tel l’avion sans gouverne… n’est-ce pas que nous le voulons bien.

 

F7 : And safe flying… to where ?

With so much Stolen Gold.

Combien de temps encore faut-il que cela dure, qui doit être pris pour Responsable, pour Coupable plus exactement.

Est-ce le Pupille, est-ce le Tuteur ou est-ce l’Autorité Régalienne, la question est posée, elle mérite une réponse.

 

F8 : … en un perfect landingpourrait-on dire.

Le « Cri d’Alarme » en tout cas, ne peut s’empêcher de penser que si le Pupille devait faire la Loi à son Tuteur – ce qui a tout l’air d’être le cas de la Martinique – c’est que la barrique aurait chaviré Cul pour Tête… « Tchiou pou Têtt », en bon Créole Martiniquais, en un perfect landing pourrait-on dire.

 

F9 : Ils sont de votre Écurie… à vous donc d’y répondre.

Ne peut-on en déduire que certains dévoiements y sont connus from beginning to end, et Parfaitement Protégés et Contrôlés.

Reste à savoir qui tient le fil du Cerf-volant.

Éric EG Nogard

Chroniqueur.

 

***     ***     ***

 

Ne Peut être reproduit – même partiellement –  sans l’autorisation de l’Auteur.

***     ***     ***

Nota : Nous ne traitons que de Faits et de Noms rendus Publics.

***     ***     ***

Liens Suggérés :