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Ramener au Racisme la moindre Réflexion, N’est-ce pas un Aveu.

03-05-2018

Ramener au Racisme la moindre Réflexion,

N’est-ce pas un Aveu.

 

Éric EG Nogard

Chroniqueur.

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Ramener au Racisme la moindre Réflexion,

N’est-ce pas un Aveu.

F1 : – Ce qui veut dire ?

         Ce que cela veut dire !

         Mais encore ?..

Pour être d’observation courante, le fait est devenu banal, et même du dernier banal pourrait-on dire.

Il faut en convenir.

Aucun fait, aucun geste, pas un mot, pas une discussion ni le moindre débat de nos jours, qui ne donne inéluctablement lieu à Accusation de Racisme.

F2 : N’est-ce pas un Aveu de Carence.

An emptiness of mind Avow.

A croire que, pour ne pas être Raciste, il conviendrait qu’on ne bouge pas d’un geste, qu’on ne dise pas un mot qui ne soit dans la ligne édictée par certains accusateurs rendus invulnérables par cela même.

Et si ramener au Racisme était tout simplement un Aveu de Carence Culturelle, d’Indigence Argumentaire, a kind of weakness of mind after allobligeant à rompre tout débat, à interrompre toute action tendant à l’aplanissement d’une difficulté, à la résolution d’un problème, à faire émerger une simple réponse à la moindre question.

En somme, un Aveu d’Inculture tout comme le refus de chercher à comprendre.

Pire, bien pire encore.

Si tout ramener au Racisme n’était qu’une Tactique Perverse propre aux uns pour sauver la face tout en cachant le fond.

Une face pas toujours belle à voir dans son propre miroir… mais on y tient.

Un fond souvent pervers pourtant jamais avoué… faute de bonne foi.

F3 : Un Fond souvent Pervers, pourtant jamais Avoué.

Tactique Commode on ne peut plus et pas chère du tout, que celle qui consiste à faire chavirer dans le racisme comme le carrosse dans le fossé toute intention, toute réflexion, toute action même des plus amènes et des mieux intentionnées.

Par exemple, pour une meilleure compréhension, pour une meilleure entente et de bonnes relations.

Pour un mieux vivre ensemble… en somme.

Et si, prenant le Racisme pour un Argument assez trompeur, trop pervers parfois dans la mesure où nous en faisons abusivement un moyen de réplique ou un moyen de chantage.

 

F4 : Que d’un Côté…

Et si nous parvenions à disqualifier ce mot de nos échanges des plus amicaux comme des plus acerbes.

Peut-être parviendrions-nous à une réflexion plus rigoureuse, plus neutre, plus féconde et pour dire selon notre formule coutumière… plus positive.

F5 : … Que de l’Autre.

Essayons donc… Essayons donc en nous mettant dans la tête que le Job exigera beaucoup de nous !.. Mais essayons quand même.

Et essayons convaincus que nous y parviendrons, car c’est davantage une question de volonté qu’une question de moyen, attendu que :

Where there is a will, there is a way.

Quant on veut, on peut.

Sans compter que nous avons tout à y gagner.

Let’s try to end race hatred by giving up the term of Racialist, that might be a first step on the good way for a better understanding from one another.

Ce pourrait être un premier pas sur la bonne voie pour une meilleure compréhension entre les uns et les autres.

Éric EG Nogard

Chroniqueur.

 

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Ne Peut être reproduit – même partiellement –  sans l’autorisation de l’Auteur.

 

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Nota : Nous ne traitons que de Faits et de Noms rendus Publics.

 

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