Montréal

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Pas de Déclaration, de Guerre à la Syrie.

18-04-2018

Pas de Déclaration, de Guerre à la Syrie.

 

N’y-a-t-il pas hélas, des mots dont on abuse, au risque d’en galvauder le sens.

 

Ainsi, la SOLIDARITÉ.

 

Se peut-il qu’on soit solidaire du meilleur ami qui soit, en ce qu’il entreprend d’inconsidéré, d’irréfléchi, de douteux ou de mal, voire de Criminel ?..  NON.

 

Selon nous, COMPLICITÉ est le mot qui convient en parreille occurrence.

 

Éric EG Nogard

Chroniqueur.

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Pas de Déclaration, de Guerre à la Syrie.

 

 

F1 : Cette breloque ne vaut rien depuis longtemps !..

A ce dur Camouflet, c’est à qui de répondre… question de Préséance.

Quelle raison d’en douter, si c’est vous qui le dites, Monsieur le Président.

« La France n’a pas déclaré la Guerre à la Syrie ».

Et à qui le dites-vous !..

F2 : Edwy de Médiapart.

A Edwy de Médiapart ou à qui veut l’entendre ainsi, car il se pourrait qu’on l’entende d’une autre oreille !..

Et comment donc.

Un lâcher de plus de Cent Bombes sur la tronche de qui vous a (ou ne vous aurait) rien fait qui puisse le justifier.

N’est-ce pas là, en soi, une Déclaration de Guerre, si ce n’est un État de Guerre pour parler net et clair.

Nous voilà donc en Guerre, même si l’attaqué est demeuré jusqu’ici sans riposte.

Néanmoins, la Riposte pourrait vous surprendre dans votre conviction d’avoir agi, non pas comme un Justicier de Western, mais Conformément au Bon droit, ce qui ne semble pas être évident malgré votre ferme conviction « affichée ».

La Riposte ne vient-elle pas à l’instant qui convient le mieux à l’Agressé, pour peu qu’il tienne encore debout… et il l’est !

A l’instant qui lui convient le mieux, là où il peut, comme bon lui semble, et cela de Plein droit, et cela de bonne Guerre.

Comme sur le Pré, n’avez-vous pas tiré, et le Premier, Monsieur le Président.

F3 : Arès, Thémis et Hadès :

« A la guerre comme à la guerre » !

Et paieront qui paieront, Arès tenant en ceci de Thémis, qu’il lui arrive bien souvent de se bander les yeux pour frapper, à l’aveuglette, ce qui fait dire au grand bonheur d’Hadès « A la Guerre, comme à la Guerre » !

Et paiera qui paiera, Monsieur ESTROSY désignant déjà les sans emploi, semble-t-il… si notre écoute de France-Inter ne nous a abusé.

Vu aussi qu’à la Guerre, ne succombent guère ceux qui l’ont cherchée.

Peut-être est-ce le pourquoi de ce qu’elle se rie de ceux qui disent « Jamais plus Ça »… toujours elle revient comme une Malédiction.

Toujours elle reviendra, jusqu’au jour où un Sacré Pétard hors Prohibition comme le sont jusqu’ici la vente d’armes de guerre et autres Engins de Mort, en rien moins Condamnables que Lance-flammes et Napalm de douloureuse Mémoire.

Jusqu’au jour où un Sacré Pétard, pas prohibé du tout, l’O.N.U. en est Témoin, nous fera entrer comme un pal, par où chacun sait, et pour de bon ce coup là, ce que les Tenants du Pouvoir ne veulent pas comprendre.

F4 : …comme un pal, par où chacun sait.

Qu’ils arrêtent de jouer aux Miles Gloriosus selon Plaute quand ils ne sont peut-être que des Soldats de Plomb.

F5 : La Colombe de Paix par Picasso, 10 Mai 1962.

Et surtout, que la France cesse de jouer la Colombe de Paix car il se pourrait que lui tombent dessus et Marius et Sylla, son Pompedius Silo ne faisant pas le poids.

Éric EG Nogard

Chroniqueur.

 

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Ne Peut être reproduit – même partiellement –  sans l’autorisation de l’Auteur.

 

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Nota : Nous ne traitons que de Faits et de Noms rendus Publics.

 

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