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Et la Contre-partie, du Financement Libyen ?..

22-03-2018

 Et la Contre-partie, du Financement Libyen ?..

 

Éric EG Nogard

Chroniqueur.

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Et la Contre-partie, du Financement Libyen ?..

 

 

F1 : Assis au banc des mis en garde à vue :

Ni cravate, ni ceinture, ni lacets.

Voilà Monsieur Nicolas SARKOZY assis au banc des mis en garde à vue dans l’enquête sur des soupçons de Financement Libyen – Mouammar Kadhafien pourrait-on dire – de sa Campagne de 2007 à la Présidence de la République Française.

 

F2 : Tapis rouge pour l’Ami KADHAFI !

Les Médias « Le Monde » et « Médiapart » qui nous l’apprennent rappellent en passant que « c’est la première fois que SARKOZY est entendu à ce sujet depuis l’ouverture d’une information Judiciaire en 2013.

 

F3 : 50 Millions d’Euros… ce n’est pas rien !

Où donc sont-ils passés.

Et selon ces Médias, une Mise en Examen pourrait s’ensuivre.

Faut-il rappeler que ces accusations portées contre Nicolas SARKOZY ont été formulées par l’intermédiaire Franco-Libanais Ziad TAKIEDDINE et d’autres Ex-responsables Libyens et qu’elles ont été rejetées de façon constante et Catégorique par l’accusé dont les Collaborateurs Claude GUÉANT et Brice HORTEFEUX sont,  l’un mis en examen, l’autre entendu en audition libre, eu égard à l’Immunité Parlementaire que lui Confère sa qualité de député Européen.

F4 : Saïf, un des fils de KADHAFI assure que la Libye a financé la Campagne de SARKOZY.

Quant à Alexandre DJOUHRI, présenté comme un personnage clé de l’enquête, il est détenu à Londres, dans l’attente d’un Jugement sur son éventuelle extradition en France.

F5 : Saïf Al-Islam fils de KADHAFI réclame à SARKOZY le Remboursement de 50 Millions d’Euros.

Bref, beaucoup d’Oseille de la Corne d’Abondance Libyenne, à des fins présumées hors de doute pour ce qui est de SARKOZY qui en a des Sueurs Chaudes.

Bref, beaucoup de Grisby généreusement adressé en espèces par Mouammar KADHAFI, le Crésus de Libye.

 

F6 : Beaucoup de Grisby du Crésus de Libye.

Reste qu’un Constat s’impose.

Le Diable aurait-il si large le cœur, serait-il aussi désintéressé que cela dans ses élans de générosité… pas du tout.

Or, force est de Constater que nul encore ne semble s’être soucié de savoir quelle Contrepartie lui aurait été offerte et aux dépens de qui un prêt étant un prêt, il implique un Pay-back sans parler de ce qu’on se garde de dire… Something under pledge of Secrecy.

Reste qu’une question se pose.

·        Serait-ce.

Le Pay-back d’un quelconque Candidat empruntant pour sa Campagne et remboursant de ses deniers… où prendrait-il pour honorer un tel remboursement.

·        Ou Serait-ce, ce qui ne serait ni Fair ni Légal.

Le Pay-Back aux dépens du Contribuable d’un Emprunt Impérial, sous réserve que le débiteur parvienne à la Magistrature Suprême.

F7 : Pour un petit Charmeur…

Du Diable l’Ensorceleur !

Quelle Contre-partie a été promise à KADHAFI, aux dépens de la Bourse ou de l’Intégrité de qui, c’est là toute la Question.

·        Emprunter pour ses besoins personnels, qu’importe dès-lors qu’on rembourse de sa poche.

·        Emprunter pour ses besoins personnels sur le dos d’autrui, il y a pour cela des Tribunaux ordinaires, tellement some people are good at borrowing but bad at giving back.

 

·        Mais emprunter de ces sommes là, et pour quoi donc, aux frais du Contribuable… 50 Millions d’Euros en un simple coup d’œil, n’est-ce pas Colossal pour un petit Charmeur Ensorceleur du Diable.

 

Pah !.. pour peu qu’on songe à ce que c’est et où cela peut Conduire… à Vendre son Pays, à le Trahir, et cela, qu’est-ce que c’est wether this is not an humbug as an humbug can be… a felony.

F8 : 50 Millions d’Euros au Candidat Français,

A quoi ça pourrait bien servir et où sont-ils passés.

Et n’est-ce pas sous la Qualification de Félonie que doit être jugé un semblable agissement s’il venait à être avéré, ce que nous ne souhaitons pas.

Et surtout, qu’on ne minimise pas en disant « Kadhaf » ?.. un ami de SARKO, donc un Ami de la France, aucune crainte à avoir, CQFD.

Les transactions de ce genre n’ont rien qui soit de l’Amitié.

Le grand Charles ne disait-il pas « Entre États, des Amis y’en a pas ».

Éric EG Nogard

Chroniqueur.

 

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Ne Peut être reproduit – même partiellement –  sans l’autorisation de l’Auteur.

 

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Nota : Nous ne traitons que de Faits et de Noms rendus Publics.

 

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