N’est-ce pas l’Humilité, la Leçon à tirer de Johnny Halliday.
« Ils se sont aimés, Johnny et St-Barth,
Ils se sont mérités en toute Humilité,
Ils se sont donnés from the bottom of their Heart,
Qu’ils soient l’un à l’autre, to the Eternity,
God bless them and keep them
Under the shelter of His Love.”
Éric EG Nogard
Chroniqueur.
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N’est-ce pas l’Humilité, la Leçon à tirer de Johnny Halliday.
F1 :Johnny Halliday, un Riche comme on les aime.
Choisir pour son Dernier Sommeil Unter deinem schirmen, my Lord, l’Île de Saint Barthélémy, ce Caillou, autant dire cet enfant de la balle de l’Arc des Antilles, en Mer des Caraïbes, ces Eaux Américaines…
N’est-ce pas faire le Choix, pour reposer en paix, d’une Piece of Rock juste à sa ressemblance, malgré les Tapis Rouges qui s’offraient sous ses pas, tant de Paris que de Los Angeles et autres Paradis où règne le Snobisme.
F2 : L’Île de Saint Barthélémy,
A piece of Rock beyond the Sees.
A piece of Rock of how many acres of land to Roll on.
En effet.
Qu’étaient-ils à leurs débuts, que Johnny, que Saint Barth.
Que sont-ils devenus l’un et l’autre, à la force de leurs poignets, par la ténacité de leur volonté, sans rien perdre de la Générosité de leur Âme ni de la Franchise et la Simplicité de leur Nature.
De Gavroche qu’ils étaient et sur lesquels nul ne miserait un Sou, ils sont bien devenus Milliardaires, des Milliardaires comme on les aime, car quel mal y aurait-il à aimer les Bons Milliardaires.
F3 : La Descente des Champs Élysées.
Les Hommages en Apothéose et Appassionato rendus à Johnny à l’occasion de son décès, en sont le témoignage.
F4 : Église de la Madeleine, Paris.
La Saint Barthélémy que nous avons évoquée dans le « Cri d’Alarme » à l’occasion d’« Irma » la dernière Tempête Tropicale, n’a rien perdu de son charme dans la prospérité.
Pour Mémoire : la Chronique intitulée « Une telle Démarche, n’est pas de leur Nature. » publiée le 13 Septembre 2017 par le « Carrefour des Opinions », QUE, Canada,
Lien : http://www.lecarrefourdesopinions.ca/?p=14198 .
Dès-lors, que peut ajouter le « Cri d’Alarme » aux Condoléances à la Famille de l’illustre disparu, comme à la France tout entière, sinon le Vœux qu’il soit tiré du choix de Saint Barthélémy par Johnny Halliday pour son Dernier Sommeil, une Leçon d’Humilité qui serait du plus Grand Bien à bon nombre de Français… et de Martiniquais.
F5 : Cimetière de « Lorient » à Saint Barthélémy :
Ni Sphinx, ni Pyramide.
Du Net, du Propre, du Simple.
Que Johnny y dorme en Paix, son repos ne sera pas troublé aux torts des Saint-Barth… Dieu n’y consentirait pas.
Mais à part ça, Madame la Marquise.
Le « Cri d’Alarme » ne doit-il pas ajouter ce petit rien.
Bien des Leçons ne mériteraient-elles pas d’être tirées de la Perte Cruelle éprouvée par tous ceux qui aimaient – ou qui prétendent avoir aimé Johnny – comme jamais ils n’ont aimé.
Nous en retenons une, l’Humilité.
· Ne repose-t-on pas aussi bien – dans son dernier sommeil – à Lorient de St-Barth., qu’au Panthéon de Paris ou Allée des Étoiles de Cinéma, à Hollywood, Cité des Anges, CA., USA.
F6 : N’y a-t-il pas eu dans ces obsèques…
· N’y a-t-il pas eu dans ces Obsèques en Apothéose quelque chose de Pharaonien, même Pharisaïque, voire Sordide comme d’anachronique dans le déploiement de Harley-Davidson si convenable à bon nombre de « pleureurs » d’aujourd’hui, qui hier encore se complaisaient à couvrir Johnny de ridicule… il pintait… son français trébuchait… il risquait de prendre feu à proximité de la flamme du Soldat inconnu… et pour cause… sans compter… sans compter.
F7 : … bien plus d’ivraie que de bon grain.
Quelque chose d’Hypocrite, de Pervers, quand on songe à ces Pipa qui n’osent s’émouvoir des « Con » et « Connerie » fusant en pleine Église de la Madeleine, des Lèvres les plus prestigieuses peut-être, de France et de Navarre.
Un petit rien qui ne saurait empêcher que chacun dise fièrement à qui voudra l’entendre :
« I was there… J’y étais »
As a manner of HUMILITY, Naturally.
En tout cas, Adieu Johnny… dors en Paix de ton Dernier Sommeil en cette Terre de Saint-Barthélémy que tu as épousée to the Eternity.
Éric EG Nogard
Chroniqueur.
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Ne Peut être reproduit – même partiellement – sans l’autorisation de l’Auteur.
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Nota : Nous ne traitons que de Faits et de Noms rendus Publics.
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