Montréal

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Vous qui voulez entendre, débouchez-vous l’Oreille.

25-07-2017

    Vous qui voulez entendre, débouchez-vous l’Oreille.

 

« Tant que durent ses nuisances et méfaits, un mal est-il guéri. »

 

Éric EG Nogard

Chroniqueur.

 

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Vous qui voulez entendre, débouchez-vous l’Oreille.

 

 

Débouchez-vous l’oreille ou ouvrez bien la bouche…

 

A moins de tout fermer et de laisser en paix notre téléphone.

 

Vous dont Blaise PASCAL disait dans ses Pensées :

 

         « L’affection ou la haine change la Justice de face :

            Le pervers observe le juste, et cherche à le faire mourir.

            Mais Dieu ne l’abandonnera point ». Talmud.

 

 

F1 : Rappelle-toi tes Méfaits, « Liberty VALANCE ».

Tes Méfaits comme tes Terreurs.

 

 

Le pervers.

 

Il intrigue beaucoup, parle peu, n’écrit point.

 

Ainsi jamais il ne se compromet, toujours il montre patte blanche.

 

Injurier, vociférer et raccrocher sans dire ce qu’on reproche ni son identité. Sans jamais écrire surtout.

 

 

 

Et nous, nous reconnaissons un Signe, il est dans la vie de KROMWELL, le voilà, c’est un simple calcul… Néphrétique si l’on veut.

 

KROMWELL allait ravager toute la Chrétienté.

 

La Famille Royale était Perdue, et la Sienne à jamais Puissante.

 

 

F2 : … Et la sienne à jamais Puissante.

 

 

Rome même allait trembler sous lui.

 

 

Mais un « petit grain de sable » se mit dans son uretère.

 

Ce petit gravier s’étant mis là, il en dégringola, sa famille abaissée.

 

Le Roi se Rétablit, tout retrouva la Paix.

 

 

Espérons que vous avez compris, quant aux uns.

 

Quant aux autres, quant à vous qui dispensez la réputation, qui donnez le respect et la vénération, aux personnes, aux ouvrages, aux choses, jusqu’aux Lois, même aux Rois… voire à Dieu.

 

Quant à vous les admirateurs mécontents que nous blâmions toutes les fausses beautés que nous trouvons en Cicéron tout comme en vos dieux.

 

 

Qu’y-a-t-il qui puisse vous faire peur, en ce que nous disons.

 

Qu’y-a-t-il qui puisse vous outrer, qui puisse vous aigrir et vous rendre mauvais.

 

 

Est-ce tel Jargon pour nous, que vous appelez beauté poétique.

 

Est-ce telle de vos Idoles qui, pour être Primus inter Parès, ne mérite pas notre agenouillement.

 

Les goûts et les couleurs ne sont-ils pas tous dans la Nature.

 

 

Est-ce l’Enseigne « Poète »,  quand le Poète sans Enseigne n’en est pas moins Poète, l’important pour lui étant d’être un Honnête Homme, tout comme pour eux, l’Éboueur, le Maçon… le Milliardaire.

 

Pourquoi toujours masquer le Réel de toute Chose.

 

 

Quant à nous, nous n’avons pas attendu comme Auguste.

 

 

F3 : Massacre des Innocents, Ordre d’HÉRODE.

 

 

Quand AUGUSTE eût appris qu’entre les enfants qu’HÉRODE avait fait mourir au dessous de l’âge de Deux Ans, était son propre fils, il dit qu’il était meilleur d’être le Pourceau d’ HÉRODE que son Fils.

 

Sans cela, AUGUSTE se serait tu pour n’avoir, ni Vu, ni Entendu.

 

Comme quoi, même AUGUSTE… enfin.

 

F4 : HÉRODE,  AUGUSTE.

Sans Cela, AUGUSTE se serait tu.

 

 

Nous n’avons pas attendu, il nous en a Coûté.

 

Il nous en a Coûté comme le montre le Document qui suit et signé CHARPENTIER.

 

N’est-ce pas la « Raison » de notre Licenciement comme celle de notre Excommunication.

 

 

F5 : Pourquoi NON et NON pour quoi ?

Pourquoi NON à son Témoignage ?.

Et les Juges ont suivi… Pending is the answer.

 

 

Un « NON » de Rage et de Terreur à sa Secrétaire,

 

Un « NON, ne l’écoutez pas à ses Juges Correctionnels…

 

 

Comme qui dirait Liberty VALANCE du film bien connu, avec John FORD, John WAYNE et James STEWART tenant le rôle de Liberty VALANCE..

 

Comme qui dirait Liberty VALANCE au vu d’un « bouseux » qui notoirement, le connaissait assez pour Témoigner de lui, tant comme Témoin de Moralité que comme Témoin pour connaître  les « Libertés Professionnelles » de Maurice LAOUCHEZ.

 

 

F6 : Qui se rappelle… Qui se souvient.

LAOUCHEZ Levez-vous.

Quelles sont vos pièces à conviction.

 

 

Ci-dessous, Copie sous Format Word du texte de l’image F5 présentée ci-dessus et signé CHARPENTIER, avec les Annotations.

 

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Michelle CHARPENTIER

Secrétariat de Direction

 

                                                        Fort-de-France, le 23 décembre 1988

 

NOTE A L’ATTENTION DE LA DIRECTION GENERALE

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Le Vendredi 16 Décembre 1988, vers 11 heures, Monsieur NOGARD est venu

 A mon bureau pour me dire qu’il voulait voir M. LAOUCHEZ de toute urgence.

 

Je lui ai répondu que Monsieur LAOUCHEZ était en réunion de Comité d’Entreprise, et qu’il ne pourrait le voir qu’à l’issue de la réunion.

 

Il a insisté et m’a demandé de le déranger, sinon il irait le faire lui-même.

 

J’ai donc rédigé un mot à l’attention de M.LAOUCHEZ et je le lui ai porté en réunion.    Ce mot que disait-il, quand il suffisait de dire par téléphone « untel veut vous parler ».

 

Monsieur LAOUCHEZ m’a répondu que c’était non. Non à quoi ?

 

Je l’ai fait savoir à Monsieur NOGARD, qui tout de suite est entré dans la salle de réunion.                   Pourquoi Non, Nul ne l’a jamais su.

 

                                                                  Michelle CHARPENTIER

 

 

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Également, ci-dessous, Transcription sous Format Word du texte de l’image F6, Publié par France-Antilles Martinique le Jeudi 15 Novembre 2007 présentée ci-dessus :

 

 

 

 

France-Antilles Martinique, le Jeudi 23 Novembre 2007.

 

« Un incident… une interrogation ».

 

Le 9 novembre 2007 au matin.

 

En sonnerie d’ouverture de séance de la cour d’Appel de Fort-de-France, un homme s’est présenté au Président de la Cour.

 

Un ancien directeur du Crédit Agricole s’est aussitôt précipité en lançant aux Juges :

 

« Ne l’écoutez pas. C’est un ancien employé du Crédit agricole que j’ai mis à la porte. Il vient déblatérer contre moi. Refusez de l’entendre. »

 

En fait, qu’aurait pu dire cet homme qui ait fait bondir cet ancien directeur du banc des condamnés, tel le diable de l’enfer.

 

Denys NOGARD

 

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F7 : Thomas JEFFERSON.

 

 

Cependant, nous sommes ce que nous sommes, tout simplement fidèle à ce mot aux Députés, de Thomas JEFFERSON, l’un des Pères de la CONSTITUTION des États-Unis d’Amérique, les U.S.A.

 

« Éduquons et Informons la Grande Masse du Peuple…

 

Ce sont les seules Garanties certaines pour la Préservation de notre Liberté…

 

Et peut-être les seules Garanties contre le Désespoir ».

 

Éric EG Nogard

Chroniqueur.

 

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Nota : Nous ne traitons que de Faits et de Noms rendus Publics.

 

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N.B.: – Nous Recommandons instamment et systématiquement  l’ouverture de la (ou des) pièce(s) jointe(s) à l’e-mail, sous format Pdf, les illustrations y sont incluses.

  

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