Si l’Âne a dévasté, Qui en est Responsable.
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Comme Hercule eût raison de Cacus, qui nous délivrera de nos Douteux Arrangements.
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Surtout quand l’Âne est identifié et son Maître Connu, l’un pour être l’AMIANTE… quant à l’autre, ANDEVA.
 
Éric EG Nogard
Chroniqueur.
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Si l’Âne a dévasté, Qui en est Responsable.
F1 : Les Veuves de l’Amiante.
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Et voilà que l’Affaire de l’Amiante nous vaut de la part d’une Victime une demande d’Opinion.
Une Victime envers laquelle, à son adjuration, nous nous sommes engagés à sauvegarder l’anonymat.
Or, une Opinion selon nous ne doit être qu’une Opinion, pas une Parole d’Évangile, surtout quand il s’agit de la nôtre.
La seule garantie que puisse offrir notre Opinion ne tenant qu’en sa Sincérité avec le Souhait qu’elle Ouvre le débat ou l’Entretienne sous l’éclairage du « Cri d’Alarme ».
De quoi est-il question.
F2 : Songeons à l’Âne dévastateur du verger du Voisin…
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Des Victimes Avérées du Travail de l’Amiante pour le compte d’une Entreprise Connue se voient Déboutées par l’Ordre Judiciaire de leur Recours en Indemnisation du Préjudice qu’elles ont subi dans l’Exercice de leur Profession.
Le Parquet de Paris a Déclaré « Sans Suite » la Plainte Déposée.
Elles ne sont pas en mesure d’établir une Chronologie des Faits, qui leur permette de désigner avec précision le Directeur de l’Entreprise Présumée Coupable des Faits Reprochés.
F3 : … N’y aurait-il « Ni Responsable, ni Coupable ».
Les Déboutés s’en vont horrifiés et il y a de quoi, tellement, selon le « Cri d’Alarme » et par quel  Arrangement Juridico-Politique, « l’Âne Saccageur du verger du voisin » serait pris pour Responsable des Dégâts, plutôt que son Propriétaire, les Directeurs de l’Entreprise incriminée n’étant guère que des Salariés d’Encadrement.
En l’Occurrence.
F4 : L’Amiante Tue, « ANDEVA » se Dérobe, se Défausse, et la Cour Déboute les Victimes.
·       L’Âne étant l’Amiante.
·       Le Propriétaire étant l’Entreprise « ANDEVA » qui l’exploite, à moins d’un Recours Reconventionnel Contre l’État dispensateur de l’Autorisation de Procéder.
·       La Victime étant bien entendu le Personnel Victime de l’Amiante.
Dès-lors.
F5 : l’Âne en Plein Saccage du Potager.
« Ni Responsable, ni Coupable » malgré tant de Victimes.
Le Motif invoqué pour justifier le Verdict de Classement sans Suite ne tient pas la Route, il n’est que Trompeuse Supercherie Politico-Juridico-Patronale.
Les Victimes de l’Amiante sont Fondées à s’en Défendre, selon le « Cri d’Alarme ».
L’Entreprise Exploitante de l’Amiante ne doit pas se Défausser sur ses Directeurs Successifs, pas plus que l’État ne doit se Dérober en sa Qualité de Donneur d’Autorisation d’Exploiter, aux Dépens de ces Malheureuses Victimes.
Telle est notre réponse à la Demande d’Opinion dont nous sommes Honoré.
F6 : La Fidélité à elle-même, ne serait-elle pas la Vertu Capitale Attendue d’une Balance… autrement, pourquoi cette Vigilance des Poids et Mesures à leur égard.
D’autant plus Malheureuses Victimes qu’elles se trouvent Désarmées face au Pouvoir Abusif de Certains « Arrangements ».
D’ailleurs l’Usage de l’Amiante ne serait-il pas Autorisé depuis le Début des Années 30, comme en Atteste les Revêtements de Fibro-Ciment encore visibles sur tant de Cases en Martinique.
En Conséquence.
Le « Cri d’Alarme » qui a toujours Compati à leur Triste Sort ne peut que partager la Volonté de tenir bon des Victimes de l’Amiante, pour que leur Cause soit enfin Entendue.
L’Âne a Dévasté le verger du Voisin, que son Maître en soit Déclaré Responsable, et ce sera Justice.
Étant bien entendu que la Responsabilité du Maître ne saurait Disculper l’Âne en ses Méfaits, n’en déplaise aux Amateurs d’Arrangements Contre-Nature.
Éric EG Nogard
Chroniqueur.
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Nota : Nous ne traitons que de Faits et de Noms rendus Publics.
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