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La Charte des valeurs : le nanane et l’arnaque (1)

02-10-2013

La Charte des valeurs : le nanane et l’arnaque (1)

Par Michel Frankland

Si la Charte des valeurs se vend si mal, puisqu’elle divise le Québec en deux, c’est qu’ou bien la présentation  en est mal engagée ou bien un groupe important de nos concitoyens y perçoivent des intentions tordues.

Un mot sur ce qui plaît à une majorité. Ce «nanane» rejoint une préoccupation commune : on en a assez de l’entêtement de la communauté musulmane à ne pas s’adapter. Il est reconnu par les autorités coraniques que le port du voile ne constitue pas une obligation. À preuve, des musulmanes ne le portent pas. Or, le Québec a souvent manifesté son irritation de  cette effronterie. «Quand on est à Rome, on fait comme les Romains». Elles répondent qu’elles ont le droit. La vie est pleine de ces droits qu’on peut exercer mais qui, symétriquement, constituent une offense à la communauté. Vous êtes invité, par votre prestige personnel, à une soirée où vous êtes attendu. Les médias vous réserveront quelques minutes. Vous avez le droit de ne pas y aller … mais votre muflerie lèsera bien des gens. En somme, tous les droits ne sont pas convenables. Un droit n’équivaut pas nécessairement  à une convenance.

Le port du voile, malgré la conscience de l’irritation provoquée chez le peuple qui vous a généreusement accueillies est cohérent avec le militantisme musulman. Nous ne sommes pour l’Islam que des roumis, des gens de seconde zone. D’ailleurs, une fois un pays de roumis conquis, ceux-ci doivent payer une taxe au conquérant. C’est la dhimma, notion bien codifiée et exercée, l’histoire le montre à l’évidence, dans les pays conquis par l’Islam.

L’exaspération populaire au sujet du voile n’est qu’une des zones de friction entre l’Islam et nos démocraties. Plus généralement,  l’incompatibilité radicale entre l’islam et la démocratie pourra un jour créer ici une telle exaspération, que la pression populaire sur les partis en place, ou alors un nouveau parti, amènera le vote de l’exclusion définitive de l’immigration  musulmane. Churchill réfléchissait sur la crédulité populaire. Il concluait : «On peut bourrer certaines personnes tout le temps. On peut bourrer tout le monde pendant un certain temps. Mais on ne peut pas bourrer tout le monde tout le temps.» De même, on peut mépriser certaines personnes tout le temps. On peut mépriser le peuple entier pendant un certain temps. Mais on ne peut mépriser tout le monde tout le temps.

Il s’avère important en ce sens de distinguer droit et liberté. Imposer un sexe pour certaines heures d’une piscine publique n’est pas un droit. Pas plus que de réserver un local au travail pour des heures de prières. On a la liberté de ne pas fréquenter cette piscine et de changer de pays si l’on tient à obtenir un endroit pour prier au travail. Plusieurs entreprises n’ont pas saisi cette distinction capitale.

Voilà  donc le premier de deux articles sur un sujet à la fois plus profond et plus émotif que la plupart l’aurait cru. La conclusion s’impose : nous sommes agressés par le militantisme musulman. Il prend ici un visage apparemment moins violent, mais tout aussi en état de rejet du peuple qui a accueilli les musulmans avec cœur et compassion. Nous verrons dans le deuxième article que le «nanane» gouvernemental recèle également un militantisme : nous sommes agressés par le militantisme athée. Nous verrons alors ses objectifs et méthodes.

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