L’engagement personnel au quotidien, une urgence dans le contexte actuel !
Par Christian Martin
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Un rappel condensé de l’article ci-dessous cité :
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« Les probabilités qu’une récession frappe le Québec sont à la hausse et atteignent maintenant 50 %, prévient le premier ministre François Legault. » Titre La Presse du 16 juin 2022 (De Charles Lecavalier) Voir extraits :
« Je pense qu’on est peut-être rendu à 50-50. En augmentant les taux d’intérêt, ça rend les investissements des entreprises moins intéressants, il y a un risque de freiner l’économie, la croissance économique », a affirmé M. Legault lors d’un point de presse diffusé à TVA en marge d’une tournée sur la Côte-Nord. »
Vrai ou faux! « Son ministre des Finances Eric Girard, qui estime plutôt que « la probabilité d’une récession est de l’ordre de 35 % ».
Par contre, son ministre des finances de l’Énergie, Jonatan Julien, « a ajouté de son côté : « Je ne suis pas économiste, je suis comptable, mais on voit les choses aller. On voit la Banque du Canada qui augmente ses taux et qui annonce d’autres augmentations de taux. Ce qui va avoir un effet nécessairement bénéfique pour l’inflation, mais qui a des effets pervers sur le coût des hypothèques ».
Renforçant les propos des deux précédents intervenants, le député libéral Carlos Leitão complète les inquiétudes sur l’augmentation des taux d’intérêts, et exige un plan d’urgence. « Il faut agir maintenant en anticipation de cette récession ou ce fort ralentissement qui s’en vient »
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En tout état de cause, ne voilà -t-il pas que ces probabilités avancées et discutées n’apportent aucun élément aux solutions à considérer.
Cet article intéressant laisse toutefois le lecteur sur sa faim! C’est une chose que de rapporter les commentaires de ministres ou députés, cependant le débat sur un sujet aussi important ne devrait-il pas amener des questionnements? Cela permettrait une meilleure compréhension de la situation si alarmante. Affirmer que l’inflation n’est attribuable qu’à la hausse du taux directeur des hypothèques est une affirmation un peu simpliste et semble vouloir masquer la médiocrité de la gestion actuelle.
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Sans aucune prétention mais plutôt affecté par des manipulations digressives constantes!
Je ne suis pas un économiste, mais mon vécu et mon expérience bancaire de plus de 37 ans en commerce international m’ont procuré une rigueur à la fois dans la gestion administrative et la maîtrise du sens commercial. J’ai effectué des audits pendant deux ans et demi (1982 à 1984) (en tant qu’inspecteur) dans des succursales bancaires dans de nombreux pays de la Caraïbe, Amérique latine, New-York, Miami, Londres et Hong-Kong, et ai terminé ma carrière en tant que Directeur du Commerce international chez RBC. Je suis reconnaissant envers la RBC qui m’a permis cette « éducation hors pair ».
Tout comme moi, nombre de citoyens ont maintenant une peur viscérale d’écouter les nouvelles tant personne ne sait plus à quel « saint se vouer ». Nous commençons à peine à prendre mesure des conséquences de la pandémie, de la guerre russo-ukrainienne et de la perte du contrôle de l’économie.
En conclusion :
Je vous suggère deux de mes derniers articles à méditer respectivement :
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La vente du pétrole russe : roubles et roupies à la une!
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N’est-il pas impératif de stabiliser « la spirale descendante de l’économique » provoquée par l’inflation?
https://www.lecarrefourdesopinions.ca/?p=16629 Extrait;
« Si ce type de commerce bilatéral en monnaies locales fonctionnait à long terme, le système financier international n’aurait pas vu naître des monnaies de réserve plus fortes, comme le dollar ou l’or », souligne Deepanshu Mohan. »
https://www.lecarrefourdesopinions.ca/?p=16632 Extrait;
« Inévitablement, il semble que pour compenser dans l’immédiat le pouvoir d’achat, il faut stopper avant tout « l’hémorragie des dépenses », prévoir graduellement à des efforts d’augmentations salariales et en particulier établir d’urgence un plan de stabilisation des prix, des biens de consommation de première nécessité. »
Je ne possède pas la science infuse mais je refuse de rester passif à «regarder le train passer» Ce qui tue actuellement notre société, c’est la passivité et la résignation.
