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La peur a-t-elle changé de camp ?

05-10-2021

La peur a-t-elle changé de camp ?

par Christian Martin

L’État Français est-il en décomposition? Les déclarations contradictoires au sein même du gouvernement créent une situation chaotique. Le Président ne cesse de dire le contraire de ce qu’il a dit quelque temps avant et n’hésite pas à contredire à tout va les assertions de ses Ministres. D’où un sentiment de chaos qui contribue à alimenter le désarroi des citoyens. Le peuple est balloté de gauche à droite sans phare ni repère avec une opposition totalement muette par complicité ou par lâcheté. La Nation est comme le bateau qui en mauvaise mer oscille entre le roulis et le tangage et dont le Capitaine décide selon les vagues de la « colère de son équipage » Oui! La colère du peuple français gronde, un peuple qui manifeste son mécontentement avec détermination et courage tous les samedis malgré la faible couverture médiatique qui essaie d’étouffer ses revendications tout à fait justifiées.

Aucune réponse rationnelle n’est apportée aux questions légitimes qui se posent face aux changements continuels et aux décisions irrationnelles prises au coup à coup. La tactique utilisée est de dénigrer ceux qui s’interrogent et de les traiter de complotistes. Les arguments des contestataires sont balayés d’un revers de la main, les traitant de Fake News. Mais qui sont les complotistes? Ne seraient-ce pas ceux qui détiennent le pouvoir ? Évidemment, le méli-mélo, mélange confus et désordonné, tel que pratiqué actuellement par l’intelligentsia n’est -il pas une forme de machiavélisme afin de diviser pour mieux régner, contrôler le peuple qui aveuglé par la colère tombe dans un piège inexorable?

On dit souvent « À qui profite le crime » une métaphore, un cliché passé dans le langage courant! Effectivement, Il est étonnant de constater plusieurs essayistes bien documentés ont souligné que plusieurs dispositions en lien avec la pandémie actuelle étaient déjà dans le programme des gouvernements (ex. le pass sanitaire dans l’Union Européenne) trois à quatre ans avant le développement de la pandémie. Les prévisions étaient déjà sur le « tapis de l’exploitation financière mondiale des vaccins ». Sitôt la pandémie déclarée, le contrôle politique de la situation s’est installé au détriment et au mépris de la médecine générale traditionnelle, introduisant une médecine de controverse scientifique de plateau de télévision, le patient devenant « le dindon de la farce attrape »

Toutes les directives édictées sont pilonnées par des annonces télévisées et autres médias, grâce aux moyens illimités de diffusion mis en place. Le climat de peur est entretenu et est renforcé au point d’aboutir à « la peur d’avoir peur ». Pourtant, cela n’empêche pas le vacciné d’être contaminé et de transmettre le virus.

La France est donc divisée l’apartheid a pris le pouvoir et le contrôle du peuple par aussi l’obligation vaccinale en créant un passe sanitaire qualifié par l’oligarchie comme étant le passe de la Liberté! Les non-vaccinés « les douteux » sont-ils devenus les rejets de la société? Boris Cyrulnik, un neuropsychiatre français connu pour avoir fait redécouvrir la psychanalyse en France, explique clairement que « le doute est le premier pas vers la liberté car il implique un choix. »

Nonobstant cette question pénible de pandémie qui déstabilise l’économie et la santé mentale de nombre de citoyens, le peuple est opprimé. Suspensions et licenciements sont de rigueur au mépris de la liberté de choix et de disposer de son corps. En plus du contexte pandémique, le gouvernement utilise la diversion, procédé utilisé pour distraire les esprits de tout ce qui est essentiel en créant des buzz qui alimentent des discussions futiles. Les déclarations intempestives du chef de l’État en sont un bel exemple.

Nous assistons à la mise en place d’une politique mondialiste. La révolution racialiste, la déconstruction de l’histoire, théories élaborées en Amérique du Nord se sont déplacées vers l’Europe. Le copier-coller est de rigueur. Toutes les gouvernances de la pandémie se multiplient à un rythme prodigieux sous l’œil et le bénéfice des grands laboratoires et des lobbys financiers. Les Big Pharma ne dictent-ils pas ses conditions de gouvernances, tout en se lavant les mains des conséquences possibles ultérieures et en rejetant la responsabilité sur les gouvernements de chaque pays? La fiabilité des vaccins est loin d’être établie puisque l’on parle de 3e et 4e dose et d’un comprimé (Pfizer) pour renforcer le vaccin. Les effets indésirables immédiats des vaccins dont le nombre ne cesse de croître ajoutés aux effets à long terme inconnus font maintenant réaliser aux dirigeants qu’ils pourront être tenus pour responsables devant la justice ?

« La peur a-t-elle changé de camp ?» Il suffit de voir leur tentative frénétique, via le conseil d’État, afin d’obtenir l’immunité parlementaire qui les protègerait contre les actions judiciaires.

Les revendications du peuple sont simplement ignorées. Qu’est-ce que cette démocratie! Comme dirait le grand Philosophe Platon : « La démocratie est la dictature de l’ignorance ».