Montréal

Nouvelles

Que cette Banque soit montrée du doigt.

26-10-2011

Que cette Banque soit montrée du doigt.

Par Éric E.G. NOGARD

Les Jours, dit-on, se suivent et ne se ressemblent pas.

De même, une Banque, d’un Directeur à l’autre.

Il arrive qu’elle change au point qu’on ne sache

Ce qu’il convient le mieux de dire :

Telle Banque tel Directeur ou tel Directeur telle Banque.

Et, si l’on préfère :

Que dire d’une Banque qui n’apure pas ses Comptes,

Sinon qu’elle est tel l’escroc qui ne paie pas ses fautes.

L’une est Crapuleuse quand l’autre est une Crapule.

(Ä–ric E.G. NOGARD)

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Pourquoi ne ferions-nous pas une Balade avant notre Plongeon dans le Mille d’un Sujet qui interpelle ou qui devrait pouvoir le faire, qui aurait du l’avoir fait.

 

Tant de choses peuvent éveiller nos sens, tant d’idées peuvent nous venir à l’esprit, tant de chances d’un sursaut de bon sens, telle une divine étincelle, peuvent s’offrir à nous, peuvent surgir en nous, au cours d’une Balade… pour une Balade.

 

 

Imaginez qu’à un Poste Sensible, et une Banque en est Un,  sinon par excellence, mais ç’en est un quand même.

 

Imaginez qu’à un Poste Sensible, vous obtempériez à un Ordre, sans que vous vous soyiez assuré que vous puissiez le faire sans Danger, sans que vous puissiez dire et prouver qui vous a donné cet Ordre, donc qui doit en Répondre.

 

Vous aurez tout simplement traversé une autoroute, à l’aveuglette, en vous remettant à la Grâce de Dieu ou en vous fiant à votre Étoile.

 

 

Traverser une autoroute, cela ne se fait pas, même avec l’assurance de pouvoir le faire sans danger.

 

Nombreux sont nos Cousins proches ou lointains du Règne Animal, quelle que soit leur Classe et de quelqu’Ordre qu’ils appartiennent qui ont tenté et tenteront chaque jour de le faire… Hélas.

 

Chaque jour certains s’en émeuvent : la Société Protectrice des Animaux s’en est émue au point de Convaincre certains Pays – on en est loin en Martinique – de dresser des Barrages, d’aménager des Tunnels qui empêchent ou assurent sans danger le passage sous les voies dangereuses pour leur Espèce de tant d’animaux sauvages.

 

Traverser une Autoroute avec ces Bolides dont on connaît les Préoccupations.

Bref, traverser une Autoroute n’est pas une chose à faire.

 

 

Pourtant, nombreux sont nos semblables qui l’osent encore de nos jours.

Les Cimetières en savent quelque chose, les Hôpitaux aussi et même les Prisons.

Les Familles s’en désolent, les Services s’en inquiètent, les Budgets s’en émeuvent.

 

Mais il y a pire que ça… il y a ce qu’on ignore, il y a ce qu’on Tait.

 

Maintenant qu’en nous baladant d’une Banque à une Autoroute, avec la tête en l’air, dans les nuages, dans les Étoiles… jusqu’à notre Créateur par cela même, revenons sur Terre, revenons au Terre-à-terre,  revenons de l’autoroute à notre Banque, voilà notre sujet, plongeons donc en plein dans le mille.

 

 

Une Banque, n’est-elle pas une autoroute avec du Monde, des Bolides, des Mastodontes, des Personnes Physiques formant Personne Morale ?

 

Une Banque ne peut-elle se révéler pire qu’une autoroute et bien plus misérable que le plus ignoble des Monstres, à l’Opinion d’en Juger… il s’agit d’un Certain Crédit Agricole de la Martinique et de son Directeur Général Maurice LAOUCHEZ.

 

 

 

Un employé de cette banque s’est trouvé – comme tant d’autres dit-on, qui l’on payé fort cher – devant un Ordre à exécuter, sans qu’aucun membre de sa hiérarchie ne consente à en endosser la Paternité.

 

  • Conséquence immédiate, refus d’obtempérer de la part de l’Employé.

 

  • Rétorsions collectives organisées, avanies, turpitudes, conseil de discipline, décision d’exclusion immédiate et sans indemnités ni préavis.

 

Fin du Premier Acte, le second consistant en un Recours en Justice.

 

 

  • Et voici le Demandeur à travers ses Conclusions :

 

Pour n’avoir pas obéi à un ordre dont ma hiérarchie n’a pas voulu endosser la Paternité en y apposant sa signature, ce qui était de ma part une mesure de précaution, mon Licenciement Immédiat et sans Indemnité ni Préavis a été voté à la Demande du Directeur Général par le Conseil de Discipline de la Banque.

Je demande que des investigations soient entreprises quant à l’Ordre Incriminé.

Que mon Cri d’Alarme soit entendu, c’est un Cri d’Alerte.

 

  • Et voilà le Défendeur en sa réplique :

 

Juges, ne suivez pas cet Homme en son délire. Il a fait intrusion dans mon bureau alors que j’y tenais Conseil.

Cette intrusion est significative d’un délit d’insubordination et justificative d’une décision de Licenciement sans indemnité ni préavis.

 

 

  • Après en avoir Délibéré, le Tribunal a rendu son Verdict :

 

Le Licenciement sans Indemnité ni Préavis est Confirmé.

 

 

 

C’était ne pas connaître l’Accusateur… Les Juges en furent abusés.

 

C’était sans compter sur la Justice Immanente, elle ne permet pas, sans le payer un jour, de piétiner la Vie des Autres pour donner libre cours à sa Cupidité, à ses instincts pervers de domination.

 

Est-ce pour avoir enfin entendu le Cri d’Alarme lancé depuis si longtemps, voilà que le Tribunal Condamne ce Directeur Malfaisant et Convaincu d’Escroquerie à une Lourde Peine d’Amende comme à plusieurs Années de Prison assorties d’un Sursis Motivé par l’amende à payer (ARRET DE LA COUR D’APPEL DE FORT-DE-FRANCE  DU 14 FEVRIER 2008).

 

 

Et voilà que, faisant Offense au Grand Architecte de l’Univers, donc de Nous Tous, et voilà que, faisant Injure au Tribunal, ce qui revient à faire Offense à la Société, à la Nation Entière,

 

Et voilà que cette Banque, le Crédit Agricole de la Martinique :

 

  • A eu l’indécence de verser à son Directeur Général Véreux, 10.000.000 d’€uros (Dix Millions d’€uros), soit 65.595.700,00 Francs (Soixante Cinq Millions Cinq Cent Quatre Vingt Quinze Mille Sept Cents Francs), soit la presque totalité de l’amende infligée, ce qui est un comble propre à justifier le retrait immédiat du Sursis précité.

 

  • A eu l’indécence de se désintéresser du sort fait par son Directeur Général Piégeur à tant de malheureuses victimes, ce qui est une Honte.

 

Nous le disons bien, une Honte pour cette Personne Prétendue Morale qu’est Ce Crédit Agricole de la Martinique.

 

 

En effet, les Victimes du Directeur Général d’Etablissement dans l’Exercice de ses Fonctions, ne seraient-elles pas Avant Tout les Victimes dudit Etablissement.

 

Qui n’a entendu les Témoignages recueillis par les Juges aux Procès faits à LAOUCHEZ.

 

 

En tout cas, nous pensons – et c’est notre Intime Conviction :

 

ü    Que ce Crédit Agricole que nous montrons du doigt ne mérite que l’Opprobre et la Malédiction de toute Personne Honnête, tant que les Torts Faits à Autrui ne seront pas réparés et pardonnés.

 

D’ailleurs, n’est-ce pas les Banques de cette Espèce qui font de tels Directeurs.

 

ü    Que le Sursis Accordé à la Peine de Prison au Motif de la Lourdeur des Sommes à Payer par le Condamné ne se justifient plus – le Crédit Agricole lui ayant rempli les poches – il devrait donc être jeté en Prison, et ce serait JUSTICE.

 

 

Nous insistons là-dessus :

 

Malgré toutes les larmes versées en Public pour Apitoyer ses Juges, Maurice  LAOUCHEZ n’a pas échappé à DEUX ANS DE PRISON, par Arrêt en date du 14 Février 2008 de la Cour d’Appel de Fort-de-France, Martinique.

 

Néanmoins, eu égard aux autres Chefs de Condamnation dont il a fait l’objet, Peine d’Amende etc…, le Sursis à sa Peine de Prison lui fut accordé pour qu’il puisse s’en acquitter.

 

Cependant, le Crédit Agricole lui ayant versé de quoi payer sa Peine d’Amende, ce dont les prétextes n’ont guère convaincu qui que ce soit.

 

Rien ne semblant plus justifier le Sursis, et l’Injure faite au Tribunal paraissant Caractérisée, Maurice LAOUCHEZ devrait être bel et bien Jeté en Prison.

 

Et cela, sans Préjudice de l’Obligation qui devrait être faite au Crédit Agricole de Réparer Le MAL CONSIDĖRABLE fait à tant de Victimes par ce Directeur Pervers dans l’Exercice de ses Fonctions.

 

En effet, n’est-il pas Coutumier de faire payer à un Propriétaire les Dommages causés par son Âne au Champ du Voisin.