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La détermination source du positivisme!

07-05-2025

La détermination source du positivisme!

Un rappel des extraits de cet article du 12-07-2022 par Christian Martin

Les décisions politico-économiques de l’oligarchie (classe dominante) mondiale actuelle ont pour but de s’accrocher au pouvoir.

Leur méthode sans arrêt : « Enfoncer quotidiennement le clou de la peur ».

En ces jours toujours perturbés par une économie internationale qui semble sombrer, l’observation des oiseaux et la contemplation de la nature sont pour moi source encore de réconfort. Cela éveille en moi de nombreux questionnements : Comment inciter au réveil ceux qui sont prisonniers de la peur qu’on leur infuse journellement, qu’il s’agisse de la situation sanitaire, des obligations renforcées par des lois punitives et des propagandes tendancieuses poussant à alimenter la guerre en Ukraine plutôt que de chercher une négociation pacifique.

L’homme un génie versus la Nature!

Demeurer dans la contemplation, dans un monde plutôt chaotique où la manipulation mensongère vise à contrôler l’esprit, évidement ne peut être comparable à l’innocence des oiseaux. Ces derniers au moindre danger immédiat (soupçonné ou prémonitoire), s’envolent vers un abri. Là en de tels moments, c’est le calme plat, le vide, la nature semble se taire à jamais. Et, pourtant catastrophes naturelles ou provoquées par l’homme, état de guerre ou maintenant par des gazes fumigènes par des avions provoquant des pluies abondantes. Le message de Google se veut rassurant :

Quelle est la fumée qui sort d’un avion ? DIXIT Google « Les machines à fumées sont généralement constituées de réservoirs pressurisés remplis d’huile. À la demande du pilote, elles projettent de l’huile sur le système d’échappement chaud de l’avion, où elle brûle rapidement et crée des nuages de fumée blanche et dense. »

L’homme un génie, inventeur détruit, reconstruit, il pense être en contrôle de la situation. Il est un fier dominant de la nature et de l’homme lui-même mais du jour au lendemain, la nature par ses orages, vents, pluies, inondations et tremblements violents de la terre, reprend ses droits.

L’homme n’est-il pas infiniment petit dans l’espace-temps ? A-t-il la science infuse?

Platon disait :

« Il n’y a rien qui soit, ni un bien, ni un mal ; tandis qu’il existe deux choses, dont l’une est un bien, le savoir, et l’autre un mal, la sotte ignorance. Chacun, parce qu’il pense, est seul responsable de la sagesse ou de la folie de sa vie, c’est-à-dire de sa destinée. »

Une inflation galopante, une récession alarmante

L’économie internationale dite en récession, une inflation galopante provoquée par des insouciants (au pouvoir), prétendant détenir la science infuse, sont en train de créer perpétuellement des diversions afin adroitement de protéger leurs actions par des règles ou lois imposées souvent en catimini.

Une gestion de l’économie « en dents de scie » afin de brouiller les cartes tout en exerçant le contrôle sur le peuple par la peur, ne peut perdurer. Cette oligarchie n’a aucune volonté, d’ouverture d’esprit et

d’humilité pour reconnaître ses erreurs. A moins que ce ne soit à leur tour de craindre la justice du peuple (Voir toutes ces grandes manifestations mondiales qui s’amplifient)

La détermination

La grande façon de l’oligarchie de perdurer est donc d’enfoncer quotidiennement « le clou de la peur »

Demeurer en permanence sans réagir face cette peur et vivre dans un sommeil impacté par de fausses nouvelles pernicieuses ne peuvent en aucun cas favoriser l’espoir mais plutôt renforcer, la peur.

Dans le cadre chaotique actuel qui ne cesse croître, solliciter en soi le réveil de l’espoir quotidien devrait être une seconde nature instinctive afin de protéger «Son Moi intérieur»!

Personnellement, je fais ici l’éloge de la détermination pacifique :

« L’espoir fait vivre et la peur tue la pensée positive. Le positivisme est basé sur la motivation. La volonté prend alors ses racines dans les états conscients de la motivation donnant ainsi toute la motivation donnant ainsi toute la rigueur nécessaire à la détermination de l’implication » Christian Martin