Les chefs et la guerre
par Carl Brabant
Présentement, au moyen d’artificiers, des autocrates issus du secteur privé cherchent à s’arroger des pouvoirs qui relèvent des États et qui, en principe, sont régis par les Constitutions des États.
L’OMS, une organisation supranationale, contrôlée désormais par les intérêts privés qui la financent a concocté une politique globale: « Health in All Policies ». L’OMS tente présentement d’en faire un traité auquel adhéreraient tous les pays signataires. En cas de pandémie réelle ou appréhendée, les pays délégueraient les pleins pouvoirs à l’OMS qui verrait à prendre les mesures nécessaires. Évidemment, en vertu du traité sanitaire, les pays devraient se conformer aux directives de l’OMS.
En matière militaire, l’OTAN cherche à se donner le même genre de pouvoir supranational. Cette solidarité imposée par traité pourrait forcer l’entrée en guerre des pays sans requérir l’approbation de leurs gouvernements respectifs.
Tout cela est dans la logique du Forum Économique Mondial de Klaus Schwab qui se vante régulièrement d’avoir infiltré beaucoup de gouvernements. Au Canada, par exemple, une vingtaine de ministres sont issus du programme « Young Global Leaders ». Il ne faut pas s’étonner de la mollesse du NPD envers le gouvernement.  Jagmeet Singh est aussi un disciple de Klaus Schwab.
À ce que j’en comprends, les autocrates globalistes ont pratiquement infiltré tous les lieux de pouvoir des sphères politiques, médiatiques, sanitaires, économiques et militaires. Tous les angles sont couverts. Georges Orwell s’est trompé sur la date; ce n’est pas arrivé en 1984.
Par contre, on a fait mieux en terme de société dystopique. Grâce aux divertissements les sociétés ne se rendent pas compte de leur aliénation et vénèrent leurs maîtres tout-puissants.