Montréal

Nouvelles

De Christianus.

11-03-2023

De Christianus.

par Christian Martin

Je m’étais décidé, Le 15 03 2019, d’écrire mes mémoires. ET aujourd’hui, j’ai pensé à reprendre quelques-unes de mes réflexions citées ci-dessous demeurer dans mes archives. Après lecture de mon texte, j’ai pensé partager ces réflexions avec vous en deux temps : soit tout d’abord avec ce texte, « Le Réveil de l’inconscient en conflit avec le Devoir! » du (15 03 2019), puis avec « Une Introduction basée sur notre actualité déprimante » du (15 08 2020) aussi conservée dans mes archives.

Aujourd’hui, le 11 03 2023, je vous présente ci-dessous « Le Réveil de l’inconscient en conflit avec le Devoir ? L’autre, basée sur l’actualité suivra prochainement.

Le Réveil de l’inconscient en conflit avec le Devoir ?

Le Réveil du jour, est-il un instant du moment présent, qu’une réalité vraie ou une renaissance du passée, modelée par le flux des événements au fil des temps, ou la prise de conscience de l’être en tant qu’acteur principal de son propre jugement, faisant face à la pensée des autres acteurs?

Le jugement peut-il être alors façonné par un melting-pot des pensées ou le résultat des vérités ou contre-vérités du moment présent.

Si c’est le cas, le passée, n’est-il pas alors déjà un héritage du conditionnement de la pensée de l’homme actuel?

Saint Augustin un des Philosophes que j’apprécie, tout comme Platon et Socrate ; Saint Augustin disait:

<<Quant au présent, s’il était toujours présent, s’il n’allait pas rejoindre le passé, il ne serait pas du temps, il serait l’éternité>>

Le devoir une obligation ou une simple opinion frivole :

Peut-on fuir ses engagements du revers de la main qui bien souvent sert à prêter serment.? Le devoir est-il un héritage de la bienséance, du respect familial ou de l’engagement sociétaire? Qu’en est-il de l’art de persuader sinon de jouer sur la corde sensible, des sentiments, afin d’influencer de dominer l’être pour qu’il ne soit qu’un simple suiveur.?

A toutes ces questions, une réponse est de mise, le devoir ne saurait exclure le respect de soi et de l’autre.

Toutefois, imposer des contre-vérités à tous pour tenter de fuir ses propres obligations, n’est-ce pas un leurre ou une démission de soi, un abandon de ses propres valeurs?

Il ne s’agit pas ici de mettre en cause le fondement essentiel de l’être qui au fil des temps, s’est doté de ses propres valeurs, toutefois, influencées peut-être par des règles sociétales ou découlant d’une éducation parentale ou issues de dogmes religieux.

Il s’agit plutôt du devoir face aux responsabilités engagées envers la société ou sur le plan familial.

Être responsable, être garant, implique irrémédiablement le respect de ses obligations. Le non-respect ne peut qu’entrainer des situations néfastes tant sur le plan moral que financier

<<La chute n’est pas un échec. L’échec c’est de rester là où on est tombé>> Socrate

Le Jugement et la foi, personnel ou collectif sont-ils fondamentalement opposés? Y-a-t-il, une source générale matérialisée en un guide moral et bienfaiteur de bonne conduite ou une source génératrice de conflits, chaque homme étant conceptuellement différent l’un de l’autre, de caractères uniques.? Le résultat du jugement, est-il donc basé sur la vérité intrinsèque ou sur les croyances ? Où se trouve donc la Vérité

Saint Augustin, disait: <<Ne t’en vas pas au dehors, rentre en toi-même; au cœur de la créature habite la vérité”

Le jugement, collectif et justice, peut-on dire, plus qu’actuellement que du passé, que le jugement est devenu, alors le rapport d’une domination ou d’une manipulation évolutive dans le temps, dictée par une ou plusieurs personnes afin de fonder un groupe global homogène de la même pensée afin d’entériner un jugement dit officiel.

Face notre situation actuelle qui évolue d’une façon désordonnée, gouvernée par des restrictions liberticides je crois que;

Saint Augustin avait raison: « Où il n’y a point de justice, il n’y a point de république »