« moïku »
par Me Serge H. Moïse av
« moïku »
Puisque la vie est un perpétuel combat
Il n’est pas question de baisser les bras
Il vaudra mieux progresser à petits pas
Que de commettre des tas de faux pas
                       SHM av.
« moïku »
Tant que les populations seront manipulées
À travers les journaux et la presse télévisée
Quotidiennement et avec autant de rapidité
Notre démocratie ne sera que stricte vanité
                           SHM av.
« moïku »
Ce qui se répète trop devient certes lassant
Sauf pour les naïfs et les pauvres croyants
Ces moutons de Panurge très obéissants
Qui se croient hélas plutôt très savants
                     SHM av.
« moïku »
À partir du 18 novembre prochain
Nos frères vont se tenir par la main
Et comme jadis tout mettre en train
Pour nous offrir un beau lendemain
                     SHM av.
« moïku »
Lorsqu’on est ratiboisé par le désespoir
On finit certes par percevoir tout en noir
Et on se laisse crever dans son mouroir
Plutôt que de s’exposer sur les trottoirs
                        SHM av.
« moïku »
L’excellence n’a rien à craindre de la médiocrité
Même quand celle-ci est en situation d’autorité
Comme dans tous les pays bien développés
La lumière triomphe toujours de l’obscurité
                         SHM av.
« moïku »
Tes amis sincères sont des anges silencieux
Qui espèrent que tu sois toujours heureux
Même si tu évolues de mieux en mieux
Et qui de toi ne seront jamais envieux
                      SHM av.