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Le désarroi : Une source d’angoisse et de détresse ?

23-08-2020

Le désarroi : Une source d’angoisse et de détresse ?

Par Christian Martin

Le Désarroi des aînés, n’est plus seulement limité dans les  (CHSLD, Québec) Centre d’hébergement privé soins et services de longue durée ou encore (d’Éphad France) Établissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes, il est devenu un phénomène quasi mondial dont les personnes âgées qu’elles soient dans des centres de soins ou non sont victimes du «laissé aller» sans considération de la nature humaine, de l’homme et de sa dignité

 

De l’ancien français Désarroyer (« mettre en désordre »), le désarroi est passé depuis le Covid-19  à une vitesse supérieure celle du désordre incontrôlé. Les aînés sont simplement oubliés, abandonnés, ils deviennent non pas des sans-abri mais pire que cela « Des débris de la société » Les soins et services appropriés qui leur sont dûs sont quasi inexistants

 

  • ·       Comment peut-on accepter que son Père et sa Mère soient des rebus de la société ? Nous leur devons Tout, déjà la Vie mais encore l’éducation face aux difficultés du comment affronter le quotidien.

  •  
  • ·       Comment peut-on accepter par décret qu’ils soient euthanasiés sans leur consentement et celui de leur famille. « Un décret en France du 28 mars au 15 avril 2020 » voir extrait du lien ci-dessous :

https://www.nouvelobs.com/coronavirus-de-wuhan/20200405.OBS27086/fin-de-vie-quel-est-l-objectif-du-decret-rivotril.html 

 

« Un décret autorisant jusqu’au 15 avril, la sédation de certains patients atteints du Covid-19 en très grande souffrance par le Rivotril suscite une grande émotion et beaucoup d’amalgames. L’objectif est de soulager la fin de vie….. Cette mesure d’exception devrait aider les soignants qui font face à la « détresse respiratoire » des patients, selon la formule médicalement consacrée, et soustraire ceux qui sont atteints par la forme la plus grave du Covid-19 à une mort par étouffement »

 

Comment « ces Commandeurs » déjà cités dans mon précédent article, peuvent-ils agir en nos noms  et nous priver des derniers instants de nos Mères ou Pères, nos sœurs et/ou frères ?

Aujourd’hui, ne devrions-nous pas plutôt avoir le courage de :

  • ·       Prendre la défense de nos aînés et de leur offrir la médaille d’OR de la reconnaissance du dévouement pour avoir fait  de nous des HOMMES. ?

  • ·       Soutenir les médecins qui exigent des Commandeurs leur droit de pratiquer leur profession et de prescrire la Chloroquine ?  Et,

  • ·       Supporter des médecins/Professeurs qui bravent l’autorité comme les Éminents Prof. Raoult et le Prof Péronne, qui sont des défenseurs acharnés de la chloroquine.

Extrait de https://biospraktikos.hypotheses.org/5419 Le courage ici et maintenant :

« Le courage aristotélicien, c’est le courage du médecin qui fait son métier sans crainte, connaissant les risques et les mesures de protection appropriées pour éviter toute contamination. Si ce médecin qui, malgré la pandémie, continue de faire son métier et d’accueillir des patients, n’est pas courageux dans le sens où Platon l’entend, il est tout de même courageux au sens aristotélicien : il soigne des malades et sauve des vies, l’évaluation exacte de la situation lui permettant de le faire sans craindre d’être contaminé lui-même ou de contaminer ses proches »

 

En conclusion, ces Commandeurs qui ne respectent pas nos aînés ou tout simplement qui se cachent en s’appuyant sur des décrets édictés en catimini, je voudrais les appeler à méditer sur une de mes citations :

«  Nous avons chacun notre tour dans les méandres indéfinissables de la vie. Le contrôle du destin est un leurre. Accepter ce qui est, ou savoir se soumettre aux réalités de la vie et de la mort est une philosophie du Bonheur » Christian Martin