D’où lui viendrait ce mal, au cher ami « Bêbert ».
 
Éric EG Nogard
Chroniqueur.
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D’où lui viendrait ce mal, au cher ami « Bêbert ».
F1 : Bêbert HAYOT :
« J’ai mal à la Martinique… »
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Si grand Patron d’Affaires soit-il, Milliardaire de surcroît, autant dire le Midas des Lieux, le cher ami « Bêbert ».
Si grand Patron soit-il, le voilà réduit – malgré sa réserve légendaire – à jeter en pâture, sur la Place Publique :
« J’ai mal à la Martinique.
Je trouve que la Martinique n’est pas suffisamment bien gérée ».
C’est du moins ce que rapporte François COPPÉE de l’AFP, en un beau jour d’Avril de l’An 2018 de l’Ere du Christianisme.
F2 :  I would prefer not to  !
Je préférerais ne pas !
Et, tout comme le pauvre Bartleby d’Herman MELVILLE, l’Auteur de Moby-Dick, la célèbre Baleine Blanche, nous aimerions tant faire entendre un « I would prefer not to » ! à la tentation qui nous vient d’y répondre, tellement les faits sont là , tangibles, vérifiables, grands témoins.
       I would prefer not to do, what you ask me to do.
       Je préférerais ne pas faire, ce que Vous m’Ordonnez.
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Cependant.
Quelle Famille aurait géré la Martinique, sinon depuis toujours, sinon depuis les DUBUC de la Caravelle, mais au moins depuis l’Épopée d’AUBÉRY, avec autant de Poigne que les HAYOT.
Le Bruit n’a-t-il pas couru que le Crédit Martiniquais était la Banque HAYOT.
D’Eugène AUBÉRY, tellement digne de Considération selon les Uns dont nous sommes au « Cri d’Alarme », tellement décrié par les Autres, comme le Parti Communiste Martiniquais dont Aimé CÉSAIRE fut un ardent militant, et demeura un incontournable pilier, malgré son retentissant divorce d’avec Maurice THOREZ du Parti Communiste Français.
Qui ne se rappelle le Couple CÉSAIRE-ALIKER, si fidèle, tellement uni.
F3 : Le Couple CÉSAIRE-ALIKER.
Qui ne se rappelle l’instrumentalisation de la noyade d’André ALIKER farouchement reprochée à AUBÉRY.
Et qui ignore ou ne se rappelle l’emprise des HAYOT sur la Martinique entière, sur son Économie, voire sur sa Culture… sur nos Politiciens… sur Aimé CÉSAIRE, ce bonhomme qui, comme l’a si bien dit Édouard BOULOGNE du « Scrutateur Guadeloupéen »,
Sut Convaincre « son Peuple » que le Génie du Christianisme n’atteignait pas la Cheville du sien.
Or, qui gérait CÉSAIRE si l’on en croit la mise en terre en Grande Cérémonie du célèbre Coubaril chez notre ami « Bêbert » qui se plaint aujourd’hui, et pourquoi… au point qu’il ait « Mal à la Martinique ».
F4 : A ta pelle… mon garçon.
Qu’est-ce qui le Chiffonne au juste aujourd’hui, dans la Mauvaise Gestion d’une Martinique si Favorable au demeurant, à ses propres intérêts.
Et qui était le Troisième Homme de la Mairie de Fort-de-France si l’on en croit la mise en place de tant de Gens du défunt Crédit Agricole Martiniquais… en Prévision de Quoi.
F5 : N’est-il pas de ces gens… celui-là .
Le Lynx n’est-il pas comme la Taupe, pour peu qu’il décide de ne pas voir les choses, qu’en face, ou de guingois.
Bref.
La Martinique fait eau et « Bêbert » le sait bien, « Bêbert » le ressent bien, tout comme il ressent ce caillou dans sa chaussure :
 
F6 : Et Qui serait ce « Troisième Homme »
Préparant le terrain, dans l’Attente de son Heure.
Le Troisième Homme, plus retors celui-là , n’a pas dit son dernier mot, il risque, avec sa Légion d’Honneur, sa Condamnation Correctionnelle et son Coussin Doré, d’être le Seul et Dernier Recours de la Martinique… son Coup de Grâce aussi.
Un Troisième Homme Organisant dans l’Ombre la Démolition et la Ruine, pour apparaître en Sauveur dès que viendra « Son Heure ».
Éric EG Nogard
Chroniqueur.
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« La Martinique n’est pas suffisamment bien gérée, ailleurs c’est mieux », estime Bernard Hayot
Bernard Hayot, le patron du plus grand groupe économique de Martinique, estime que « la Martinique n’est pas suffisamment bien gérée, ailleurs c’est mieux », dit-il dans le cadre de la rencontre de la concertation et du développement, mercredi dernier à Fort-de-France.
© PATRICE COPPEE / AFP Bernard Hayot président fondateur du groupe Bernard Hayot en Martinique.
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Martinique La 1ère
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Publié le 20/04/2018 à 13:33, mis à jour le 20/04/2018 à 14:10
Yan Monplaisir, le vice-président de l’Assemblée de Martinique, organise régulièrement des rencontres thématiques de la concertation et du développement.
Mercredi dernier (18 avril 2018), dans les locaux de l’ex Conseil Général à Fort-de-France, des élus, des cadres territoriaux, des représentants de l’État, des cadres des institutions financières et des chefs d’entreprises étaient invités à échanger autour du thème : quelle dynamique économique pour la valorisation du patrimoine ?Â
En marge de ces échanges, Bernard Hayot, le patron du plus grand groupe économique en Martinique et bien implanté en Outre-Mer, a fustigé la gestion de la Martinique.
« J’ai mal à la Martinique. Je trouve que la Martinique n’est pas suffisamment bien gérée. Je trouve que la Martinique n’a pas pris conscience que dans la compétition dans laquelle nous sommes, ce sont les meilleurs qui gagnent. Notre groupe est implanté sur tout l’Outre-mer(…) Je ne vais pas vous dire à quelle place je mets la Martinique mais ce n’est pas dans les premiers. L’Outre-mer est beaucoup mieux géré, ailleurs. En Nouvelle Calédonnie c’est mieux, à la Réunion c’est mieux, en Guadeloupe c’est mieux, en Guyane c’est mieux (…) Je mets la Martinique à égalité avec la Polynésie…et c’est assez bas« .
Bernard Hayot
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Ce jugement sévère devrait en principe provoquer quelques réactions, d’autant que les comparaisons entre les collectivités territoriales d’Outre-mer, sont peu pertinentes compte tenu des différences institutionnelles et statutaires.
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Ne Peut être reproduit – même partiellement – sans l’autorisation de l’Auteur.
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Nota : Nous ne traitons que de Faits et de Noms rendus Publics.
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