Voyons l’Accusation, puis la Diffamation.
 
Éric EG Nogard
Chroniqueur.
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Voyons l’Accusation, puis la Diffamation.
Chez-nous, ne met-on pas en garde contre la mise de la charrue avant les bœufs.
F1 : C’est pas comme ça chez-nous !..
Dans cet ordre de concept, certaines Personnalités joueraient-elles les ignorants ou seraient-elles bien de chez-nous.
Cette question nous oblige à revenir à une de nos toutes précédentes Chronique n° 2018/407 intitulée « Faute d’avoir Cautionné, aurait-elle Réfuté. » publiée le 12 Février 2018 par le « Carrefour des Opinions » QUE, Canada,
Lien : http://www.lecarrefourdesopinions.ca/?p=14498
Une Plainte pour Viol est déposée en Justice et le Juge le Confirme, tout en reconnaissant l’avoir Classée « sans Suite », ce dont les Parties ont été avisées.
 
F2 : Affaire Classée sans Suite.
Dix ans après, cette affaire ressurgit, se médiatise, fait polémique, la Presse étant vouée aux Fourches patibulaires pour avoir fouiné et révélé comme il convient à sa nature et comme il sied à ses devoir et obligation d’informer sur les problèmes de Société.
Jouant les brandons, l’accusé aura cru bon de « prendre les devants » en dénonçant « des Rumeurs Ignominieuses » propagées au préjudice de sa réputation par le Journal « Ebdo ».
« Le Parisien » entre dans le Débat et révèle le nom des protagonistes sur son site internet.
Et voilà que le brasier s’échappe du brasero, outrepasse le feu de Camp, vire au Feu Nourri entre le Ministre accusé de Viol et la Presse qui se tient dans son rôle d’Enquêteur d’Information, pour le plus grand bien de la Société, du Public.
Au Stade ou nous sommes, de cette Tempête Médiatique :
F3 : Madame Pascale MITTERRAND, petite fille de « Tonton ».
–        Madame Pascale MITTERRAND, Auteure de la Plainte déposée en 2008 pour Fait de Viol contre Nicolas HULOT, a déclaré :
·       N’avoir sous aucune forme réactivé cette affaire, ni auprès de son protagoniste actuellement Ministre, ni auprès de quiconque.
·       N’avoir pas souhaité cette Médiatisation, mais qu’elle n’avait aucun pouvoir de s’y opposer.
·       N’être en aucune manière à l’initiative des Révélations qui ressortent de la Médiatisation Actuelle.
En revanche, la Mise en Cause pour fait de Viol n’est pas Levée alors qu’elle est d’actualité dans la mesure de la Polémique virulente dont elle est l’Objet et qu’elle suscite à juste titre.
Que la Justice en tienne Compte. Le Cas n’est pas Banal.
Et au Stade où nous sommes de cette tempête Médiatique :
F4 : Monsieur Nicolas HULOT, mis en Cause présumé Innocent.
–        Nicolas HULOT, l’Accusé pour fait de Viol sur Pascale MITTERRAND :
·       A reconnu avoir voulu « prendre les devants » en dénonçant les « rumeurs ignominieuses » et la publication le mettant en Cause par le « Journal Ebdo ».
Rien ne l’en empêchait et rien ne l’obligeait.
·       A déposé à l’encontre du « Parisien » une Plainte pour diffamation.
Espérons qu’il aura obtenu de Pascale MITTERAND, un Témoignage à décharge et qu’il se sera dépêché de le verser au dossier de cette Déplorable Affaire certes Classée, néanmoins, aucunement réglée.
Ne dit-on pas « Pas de Plainte, pas de Crime ».
Or, il y a bien un tison sous les Cendres… quel Tison.
Au Tribunal de Trancher ce Cas de Diffamation pour Révélation d’une Plainte non Élucidée par la Justice et non Révoquée par la Plaignante.
Enfin, au Stade où nous sommes en cette Tempête Médiatique,
Au lieu de leur Soutien à l’Accusé, le Chef de l’État et le Chef du Gouvernement ne seraient-ils pas mieux inspirés de s’en remettre aux Tribunaux pour la Résolution de ce Cas qui Interpelle la Nation.
Bien que Classée l’Accusation demeure, infirmant la Plainte pour Diffamation.
Éric EG Nogard
Chroniqueur.
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Nota : Nous ne traitons que de Faits et de Noms rendus Publics.Â
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