Qui mieux qu’un bon Toubib, pour Présider la France.
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Éric EG Nogard
Chroniqueur.Â
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Qui mieux qu’un bon Toubib, pour Présider la France.
Une France souffreteuse, au bord de la malemort sous sa Cinquième République.
Et le Vieux Maréchal qui les regarde défiler à son chevet, (pas le sien, à lui, bien entendu) la main davantage plongée dans la caisse que dans les plaies dont elle crève, depuis la République du Grand Charles.

F1 : La Cinquième, du grand Charles au petit François.
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Comptons-les.
Charles X de Gaule, Georges 1er de Montboudif, Valéry 1er d’Estaing, François III dit Tonton, Jacobus 1er de France, Nicolas 1er puis François IV dit le petit, le sortant et peut-être… le sorti.
Déjà sept pour la Cinquième République d’une France allant de mal en pis, sans que nul ne se dise qu’après tout, c’est en appeler au Charlatanisme que de faire venir pour guérir un malade, des Experts qui ne soient Médecins.

F2 : Pas un n’est Médecin… Bonne Santé à la France !
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Experts en Stratégie Militaire, Experts ès-Finances, Experts du Barreau, bref, Omni-Experts –sauf ès-médecine.
N’est-ce pas à croire que nous tiendrions des Céphalopodes, de cette merveilleuse classe des mollusques qui ne marchent que pour piller, pour ravager avec la complicité ou l’agrément des porteurs de Caveçons, les uns pour les dresser, les autres pour qu’ils la bouclent.
Déjà sept, et voilà le temps venu d’en élire un huitième.
Pour cette République, ça en fera Huit, comme si, un pour chaque jour de la semaine (comme qui dirait) n’était pas suffisant.
Et de ceux proposés à nos Suffrages, pas un n’est Médecin.
Et de tous, parti-pris mis à part, pas un qui paraisse plus propre de péchés – free from sins – que François HOLLANDE, le Président sortant… triste, mais vrai.
Quand le Français songera-t-il à donner un Médecin comme Président à sa Mère Patrie qu’il prétend tant aimer.
Car eux, les Médecins – le « Cri d’Alarme » s’exprime au vu de ceux qu’il voit à l’œuvre dans les Hôpitaux de la Martinique – ils vous guérissent… ce qui est l’accomplissement de leur Vœux le plus Cher… et ça tient du miracle.
        Néanmoins, à quel prix, quand rien ne les y oblige :
–        Ils aménagent by themselves leur espace d’activité… faute de Crédits Publics.
–        Ils poussent les brancards, faute de brancardiers… la boîte bat de l’aile.
–        Ils distribuent les repas aux patients, par manque de personnel… Carence budgétaire.
–        Ils s’arment d’ubiquité tant ils ont de malades… eux qui viennent de la France Continentale, d’Espagne… du Viêt-Nam, de partout, pour la plupart.
Pendant que :

F3 : Structure de Prestige à grands frais !
Cependant enclavée à ce qu’il semble.
- Pleuvent les Millions pour une Médecine Up to date.
- Retentissent les Crécelles du monde politique en charge de la Santé Publique.
- Jouent les gros-bras, Associations et Syndicats, aux yeux d’Argus et aux bâtons de bois vert, au nom d’une Médecine de qualité, laissant toute la charge sur les épaules de Médecins et d’Infirmières, vrais faiseurs de miracles aux dépens de leur Vie Familiale, au Prix de leur Santé, faisant les frais de dépenses somptuaires combien flatteuses pour la vanité du Politique, quand manque l’indispensable aux Patients… Que dire l’indispensable, souvent même un Comprimé d’Aspirine.

F4 : Autant flatteur est l’avers de cette médaille, que son revers est pitoyable.
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O Lord ! Que seraient nos Malades sans de tels Médecins.
Tout bien pesé,
Rien de mieux, selon le « Cri d’Alarme » que la désignation d’un – même tiré au sort – de ces Médecins qui montrent chaque jour ce que veut dire le mot « SERVIR »… au Chevet de la France.

F5Â : Seuls leur sacerdoce et leur sens du devoir, peuvent les tenir debout.
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Mais hélas… la France en soi, est-elle notre Souci.
Éric EG Nogard
Chroniqueur.
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Ne Peut être reproduit – même partiellement – sans l’autorisation de l’Auteur.
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Nota : Nous ne traitons que de Faits et de Noms rendus Publics.
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