Montréal

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Tous les Biens de la Terre, ne sont-ils qu’à CÉSAR.

11-07-2016

« Notre Métier n’est pas de faire plaisir, Non plus de faire tort à qui que ce soit, Ni pour quoi que ce soit, Il est de porter la plume dans la plaie ». (Albert LONDRES).

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Pardonnez-nous si jamais, tel Aristarque De SAMOS, nous troublons quelque part, jusqu’au « Repos des Dieux ». (Éric EG Nogard, Chroniqueur).

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Tous les Biens de la Terre, ne sont-ils qu’à CÉSAR.

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Tous les Biens de la Terre, ne sont-ils qu’à CÉSAR.

 

 

« Il faut rendre à César ce qui appartient à César, et à Dieu ce qui est à Dieu. »

 

Éric EG Nogard

Chroniqueur.

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Tous les Biens de la Terre, ne sont-ils qu’à CÉSAR.

 

F1 : Comme Dieu n’existe plus ! Il fallait y penser.

L’Air, la Terre, les Rivières, les Mers et tout ce qu’ils produisent, ne seraient-ils qu’à CÉSAR, à son seul Bénéfice et au Profit de ceux qui ont ses faveurs ou qui les Briguent, quitte à y perdre leur Âme.

Que voudrait nous dire ce mot de l’Auteur du Sermon sur la Montagne :

« Redde caesari quae sunt Caesaris

Et quae sunt dei deo ».

« Il faut rendre à César ce qui appartient à César,

Et à Dieu ce qui est à Dieu. »

Que nos Docteurs de la Foi et de la Loi comme ceux de l’Esprit et du Corps nous l’expliquent et nous le fassent comprendre, en ce monde où il semble de bon ton, de Couvrir Dieu de Ridicule, de Nier même qu’il existe.

Réalisons sans parti-pris.

Aujourd’hui, tout est « Bien de l’État », donc de ceux qui nous Gouvernent, donc de César.

Lui Seul, donc ceux qui nous Gouvernent, peut disposer de Tout.

Que pour Survivre vous préleviez sans Patente de César, que le plus petit oiseau du Ciel, le moindre lapin de garenne, un carpillon de rien ou une seule écrevisse… vous voilà bon pour les Geôles de l’État.

Un État qui prend Tout, qui vend Tout, qui loue Tout, qui en fait profiter à Qui il veut et malheur à qui ose s’en plaindre.

Le Corollaire étant, d’une part quelques privilégiés qui seraient en mal d’avouer quelle jouissance ils en tirent, et, d’autre part, des gens de plus en plus nombreux, réduits à vivre au quotidien d’un no more hope than « La Charité mes Bons M’sieu-dam ».

F2 : La Charité mes Bons M’sieu-dam !

Si c’est ceci le Sunt Caesaris en toute Légitimité, est-ce ce que doit être Humainement le Sunt Dei Deo.

Grands de ce Monde, Mauvais Riches et Faux Pauvres, étant bien entendu qu’au « Cri d’alarme » notre Considération est aussi vraie et aussi grande pour le Bon Riche que pour le Vrai Pauvre, si tel doit être le Sunt Caesaris, dites ce qui est laissé au Jus Gentium, au Droit des Gens.

F3 : Grands de ce Monde, quelle part faites-vous au Jus Gentium !

Et si le Sunt Dei Deo était juste le Jus Gentium.

Que diriez-vous du Sunt Gentium au regard du Sunt Caesaris sous l’éclairage de la Justice Sociale et de la Démocratie dont nous nous réclamons.

En Conséquence, serions-nous une Démocratie Humaine, et, le Revenu Minimum Universel ne serait-il pas un Dû, au regard du Jus Gentium.

Éric EG Nogard

Chroniqueur.

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Nota : Nous ne traitons que de Faits et de Noms rendus Publics.

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N.B.:Nous Recommandons instamment et systématiquement l’ouverture de la (ou des) pièce(s) jointe(s) à l’e-mail, sous format Pdf, les illustrations y sont incluses.

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