Montréal

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Le Destin d’un Pays, à Qui sert plusieurs Maîtres ?

24-06-2016

« Notre Métier n’est pas de faire plaisir, Non plus de faire tort à qui que ce soit, Ni pour quoi que ce soit, Il est de porter la plume dans la plaie ». (Albert LONDRES).

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Pardonnez-nous si jamais, tel Aristarque De SAMOS, nous troublons quelque part, jusqu’au « Repos des Dieux ». (Éric EG Nogard, Chroniqueur).

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 Le Destin d’un Pays, à Qui sert plusieurs Maîtres ?

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Le Destin d’un Pays, à Qui sert plusieurs Maîtres ?

« La vérité est si obscurcie en ce temps, et le mensonge si établi, qu’à moins d’aimer la Vérité, on ne saurait la Connaître »… disait déjà Pascal en ses Pensées.

 

Éric EG Nogard

Chroniqueur.

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N’est-ce pas en cette simple question que tient tout le sens des Élections, Présidentielles à fortiori, et du choix de ceux qu’on nomme pompeusement les Grands Serviteurs de l’État :

Remet-on aux mains de qui sert plusieurs Maîtres le Destin d’un Pays… d’un pays quel qu’il soit.

F1 : Sans son « malencontreux accident »,

Ne serait-il pas notre actuel Président.

La France eût un Chef qui lui fit Don de sa Personne, lui seul comprit peut-être le pourquoi de ses malheurs, et, les mesures qu’il prit pour l’en prémunir, lui valurent l’anathème.

Or, depuis son excommunication, qu’en est-il de la France, que risque-t-il d’en être, de l’Europe toute entière… l’à-venir semble déjà le dire en un mot « Destruction ».

Quoi de plus Destructeur en soi, que de confier son Destin ou de se faire servir, par qui, ou de Gauche ou de Droite est de la même farine, Ejusdem farinae, pour manger à plusieurs râteliers.

«  Tu ne serviras pas deux Maîtres à la fois », est-il dit quelque part.

Ce à quoi le « Cri d’Alarme » croit devoir ajouter… «  sans inéluctablement en détruire l’un pour le plaisir de l’autre »… Destruction donc.

F2 : Nul ne peut servir deux Maîtres. 

Or, le constat des lieux nous le fait toucher du doigt.

Alors que nous trions tout : lentilles, minerais, espèces, quel sas mettons-nous au choix de nos Élus, comme de nos Dirigeants et de nos Juges…

Nous nous garderons bien de dire aucun, cependant.

  • Renseigne-t-on sur leurs penchants, sur leurs appartenances, sur leurs implications, sur leurs Obédiences, donnant ainsi à l’usager la possibilité de les récuser au besoin.

  • Renseigne-t-on assez sur les incompatibilités qu’ils présentent dans la défense des intérêts de leurs éventuels mandants, de leurs administrés, ceux de la Collectivité qu’ils convoitent, voire de la Présidence de leur Pays… leur Auri sacra fames par exemple… leur exécrable faim de l’or !

  • Se soucie-t-on assez du sort fait par certains Juges aux Justiciables dont le seul tort est de ne pas avoir le bénéfice des bons offices de Certaines Confréries.

 

F3 : Destruction par le Typhon que sont ces Clubs et Sociétés qui se moquent des Lois.

 

Tout commence en eau trouble, se poursuit en calamités décisionnelles, traînaille en vains procès et finit par la Destruction, par le typhon que sont ces sociétés plus fantomatiques que clairement identifiées qui dominent les États, forcent les Juges et corrompent tous ceux qui les servent en brisant tous ceux qui leur font obstacle.

F4 : Un passage à l’Urne pour quel Vote.

Pourquoi Voter s’ils sont tous de la même Farine… Ejusdem farinae.

Au final… si rien ne change… à quoi bon… Autant subir et ne rien dire si notre si bon Monde ne trouve rien à redire de cette prise de l’État dans les mailles d’un Filet tendu par ceux qui sont le plus appelés à le servir avec Fidélité et Dévouement.

Éric EG Nogard

Chroniqueur.

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Nota : Nous ne traitons que de Faits et de Noms rendus Publics.

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