Parler de Déchéance tout comme du Vivre Ensemble.

Parler de Déchéance tout comme du Vivre Ensemble.

Parler de Déchéance tout comme du Vivre Ensemble.

Parler de déchéance sans la moindre allusion à nulle référence… même pas subjective, par exemple, l’idée de chuter du haut d’un Paradis aux tréfonds d’un Enfer.

Est-ce bien pédagogique.

Offrir un Vivre Ensemble sans dire par quel chemin conduire à cette ROME…

N’est-ce pas Démagogie.

 

Éric E.G. NOGARD

Chroniqueur.

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PARLER DE DECHEANCE TOUT COMME DU VIVRE ENSEMBLE.

F1 : Il arrive qu’on dise, sans penser si bien dire !..

Ainsi, l’Indépendance à la Guy… faisons gaffe.

Comme si nous n’avions nulle préoccupation plus digne d’intérêt, voire plus urgente, et même d’une urgence, non pas absolue, mais plus vitale que de parler de Déchéance, du Vivre Ensemble… sur un « accord » d’Indépendance.

 Parler de Déchéance tout comme du Vivre Ensemble.

F2 : Le Drame n’est-il pas là… qui fait notre Jouissance.

Comme si quotidiennement, nous ne pratiquions pas la Déchéance Socialo-Nationale, tout comme Monsieur JOURDAIN faisait ses Vers… sans le savoir… sans Vermifuge possible à ce jour pour le Tænia que nous sommes dans les boyaux de la Nation.

F3 : In case N… knock on your door… rid of him, keep him far away.

Comme si dans notre espérance, non pas d’un Nouveau Monde du genre Eldorado, notre obsession n’était dans l’avènement d’un Tout’Monde réclamé à hauts Cris quand les nombreux procédés de Communication révèlent à chaque instant que fait le Bon Dieu, notre acharnement à tirer à nous au-delà du pas croyable non seulement le gâteau jusqu’à ses moindres miettes, mais aussi the latch of our door to keep away… far away, ceux qui quêtent un emploi pour survivre.

Oh là là.

Si la Terre pouvait parler… si notre Hi-Phone devait nous dénoncer… si nous pouvions regarder en nous-mêmes, en une secrète introspection.

Comme si nos moyens et procédés d’exclusion de qui nous gène, nous faisaient à ce point défaut, dans notre soif de mainmise sur tout pour notre seul profit.

                                                                       

F4 :… pour plaire à mon Loulou…cher vieux Cocu béat.

• Parler de Déchéance, vouloir en faire une Loi.

Comment tomber plus bas quand on n’a plus rien sur le Cul.

A quoi bon, quand par nature foncière nous en faisons notre Constante Communion :

En quoi consiste ou à quoi se ramène notre « parler correct et Franc » quand il n’a pour effet que de jeter dans l’ombre, même dans le néant, qui ne nous plait pas, cependant que seules nos idoles et nos Minettes et nos Mignons ont droit aux feux de la rampe, peu importe comment, et qu’importe à quel prix.

Les Hautes Sphères du Sport en sont l’Illustration..

N’allons-nous pas jusqu’à frapper de déchéance notre propre Histoire, à vouloir ici, la faire naître de notre Révolution de 1789, à vouloir là, la faire partir d’un prétendu visionnaire et poète dont nous avons cru devoir faire le Papa iche de la Nasyon Matnik.

Déchoir l’autre est dans nos Chromosomes… aimons-nous les uns les autres, ça, c’est une autre affaire.

F5 :… ou le Trottoir !

C’est ça le Vivre Ensemble.

• Parler de Vivre Ensemble.

Vouloir en faire une Religion quand chacun tire à Hue !.. et à Dia !.. Sans aucune règle ni aucun frein qui fasse obstacle à sa sacro-sainte liberté d’expression… dans sa nature foncière, le verbe n’étant que tromperie

Une liberté d’expression qu’au « Cri d’Alarme », nous prendrions pour devoir plutôt suggérer, sinon le « vivre chacun chez soi », mais le vivre entre gens qui partagent les mêmes goûts, sans vouloir les imposer aux autres en les donnant pour des Valeurs Suprêmes… les goûts et les couleurs ne se discutant pas.

Hier encore, ne disait-on pas « qui se ressemble… s’assemble ».

Vivre Ensemble quand chacun vous impose ad libitum, ou la loi de son bas-ventre, ou sa Cupidité, à prendre dans l’extase pour divine bénédiction.

N’est-ce pas une Misère que ce Vivre-Ensemble dans un Tout’Monde dont on est déchu si on ne s’agenouille devant ces New Saviors dont on se demande parfois si en fait, ils ne seraient pas la Malédiction faite Queen pour annoncer The End de ce Monde de Fripouilles.

Éric E.G. NOGARD

Chroniqueur.

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