PÉTAIN n’est pas la Cause des Malheurs de la France.
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PÉTAIN n’est pas la Cause des Malheurs de la France.
PÉTAIN a tout gagné, fors la gratitude qu’il méritait de la France.
S’interroger sur le Statut du Vaincu serait une bonne chose pour comprendre.
La situation du Prisonnier en Liberté Surveillée peut aider à s’en faire une idée.
 
Éric E.G. NOGARD
Chroniqueur.
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F1 : Réhabilitez ce Juste.
Arrêtons d’éluder les sujets quand ils fâchent si nous voulons qu’ils cessent de nous suivre comme notre ombre ou encore comme l’œil d’Abel à la poursuite de Caen.
Admettons que de tout ce qui fâche, il n’y a guère que ce qui dérange… or, pourquoi craindre d’être dérangé quand on n’a « rien sur la conscience », quand on est convaincu de maîtriser le sujet dont on parle.
Alors, « ATLANTICO, vent nouveau sur l’Info », clarifions notre idée sur ces mots d’Yves ROUCAUTE que vous connaissez bien.
Ils répondent à votre question – qui l’amuse – relative à la décadence Française, selon Giscard d’ESTAING.
Ils nous semblent ambigus, les voici, les mots d’Yves ROUCOTE :
« C’est bien ce déclin moral qui fut cause de la chute de la IIIème République qui vota les pleins pouvoirs à PÉTAIN ».
F2 : Le SFIO et le SS d’État à la Guerre.
Que vient donc faire le Maréchal PÉTAIN dans ce brouillamini démonstratif relatif à la décadence de la France comme à sa Capitulation devant les Troupes Allemandes.
En quoi aurait-il contribué – disons le en termes clairs – et en quoi en serait-il coupable si peu que ce soit, que de la Décadence évoquée, que de la Défaite inavouée.
Qu’était la France quand Elle lui fût confiée.
A quoi serait-elle réduite sans l’Armistice.
Que serait cet Armistice sans l’Autorité du Maréchal.
Nous prenons pour un sursaut de la France, le Vote des Pleins Pouvoirs à PÉTAIN, par cette IIIième République truffée de SFIO jamais expurgés à ce jour.
Qu’eût pu faire de mieux le sémillant Sous-secrétaire d’État à la Guerre quand, sur toutes ses routes, la France entière se trouvait en déroute.
Qu’eût-il pu faire de mieux, fort des Pleins Pouvoirs, dans sa situation de vaincu avec ou sans effusion de sang.
Car un vaincu est un vaincu, malheur à lui, est-il écrit quelque part.
Son statut est celui d’un prisonnier en Liberté Surveillée, et même bien pire, au demeurant… le prisonnier n’a en cause que sa peau.
Ses pires gardes chiourmes sont souvent ses « compagnons » de cellule, véritables chauve-souris qui, d’un retournement de veston se font compagnons de la libération faufilés dans le tas comme les mites dans le riz.
D’ailleurs, en quoi les « actes de résistance » envers l’occupant ont-ils bien pu arranger les choses – Rappelons-nous Oradour sur Glane, quelle en fut la cause, quelles en furent les conséquences.
Le tout n’est pas de donner du bec à tors et à travers, il faut savoir se rendre à l’évidence, il faut savoir regarder les choses de ses neurones à soi, avec sérénité, au risque de déplaire à la Meute tirée par des ficelles que ses yeux ne voient pas.
PÉTAIN savait que le Principe de l’Équilibre des Nations Européennes jouerait en Faveur de la France… que sa Libération était dès-lors, just a matter of time.
PÉTAIN n’est pas la cause des malheurs de la France qui gagnerait à Réviser le Procès de cette Victime d’Accusateurs vindicatifs et Revanchards, aussi Corrupteurs que Corrompus.
PÉTAIN n’a été qu’une Victime Expiatoire.
Il mérite Réhabilitation.
Une Réhabilitation Nationale…que les Français en prennent conscience.
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Nota : Nous ne traitons que de Faits et de Noms rendus Publics.
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