Un Média donne le branle sur la Place Publique.

Un Média donne le branle sur la Place Publique.

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Un Média donne le branle sur la Place Publique.

 

Éric E.G. NOGARD

Le petit Chroniqueur.

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F1 :Un Média donne le branle sur la Place Publique.

Qu’un Média donne le branle sur la place publique, n’est-il pas dans son rôle, alors, rien de plus normal s’il ne s’agit que de cela… que de donner le branle.

Même, depuis tout récemment, cela s’appelle donner l’alerte.

Depuis tout récemment, la mode semble être à cette expression : donner l’alerte.

Néanmoins, il nous semble nécessaire, surtout pour un média « non engagé », de donner une alerte qui ne soit tendancieuse car c’eût été la rendre vicieuse, en transgression de la déontologie du journalisme.

Que l’Opinion Publique apprécie sur le fondement de cette « UNE » soumise à son attention par les soins de Martinique Province Française d’Amérique.

« Punie et contrainte à ramasser les ordures

Une brillante élève mise à la porte de son lycée ».

Une annonce qui fait notre surprise et qui nous choque même.

Notre brillante élève aurait-elle fait l’objet d’un renvoi pour s’être refusée au ramassage des ordures.

Nous en serions outrés, alors, préférons-nous en douter.

Car, si c’était le cas, quelle atteinte à notre dignité et quoi de mieux comme raison des plus légitimes d’un soulèvement général contre une telle mesure, contre l’Établissement, contre l’Institution.

Quelle raison légitime, justificative d’une expédition punitive dans les règles de l’art.

Aussi, passons-nous l’article au démêloir.

La victime – son bulletin du premier trimestre en fait foi – est une excellente élève.

Notre Média le souligne avec soin.

Le motif du renvoi – quant à lui – ne semble avoir aucun rapport avec les mérites scolaires de l’élève.

Il ne semble pas suffire à justifier la sanction entreprise, notre Média l’ayant donné au Public pour un simple bavardage itératif tout de même, mais cependant disproportionné.

N’y aurait-il pas plus grave, n’y aurait-il aucune Circonstance aggravante dans le cas.

Le Casus-belli n’aurait-il pas été innocemment passé sous silence.

Après tout, il est assez courant qu’un bon élève soit dissipé et nous prenons pour douteux que la seule dissipation ou que le seul refus de la punition ou que ces deux motifs conjugués aient provoqué le renvoi de l’élève d’une telle excellence.

Et nous doutons qu’un seul Média en disconvienne.

A moins d’une arrière pensée caractérisée, le Média mis en cause devait s’abstenir, non d’une telle publication, mais d’une telle présentation des faits.

Une présentation des faits à l’évidence tendancieuse donc condamnable selon nous, surtout de la part d’un média qui se doit d’être neutre, vu sa dimension et sa portée au niveau du Public Martiniquais.

Donner l’alerte, OUI, à condition de s’assurer qu’on puisse le faire en toute honnêteté donc sans parti-pris ni danger d’explosion.

N’est-il pas juste de donner au Public tous les éléments nécessaires à l’appréciation des faits sciemment portés à sa connaissance afin qu’il se fasse une Opinion de façon Objective et Sereine.

Le Renvoi d’une Excellente Élève sur le fondement d’un « simple bavardage » nous laisse dans le doute, l’exposé des faits nous paraît tenir du clair-obscur, malheureusement

La Première de sa Classe renvoyée de la sorte et sans raison, cela mérite un brin d’explication.

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Nota : Nous ne traitons que de Faits et de Noms rendus Publics.

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N.B.: – Nous Recommandons instamment et systématiquement l’ouverture de la (ou des) pièce(s) jointe(s) à l’e-mail, sous format Pdf, les illustrations y sont incluses.

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Avis de vente de Mémoire.

 

 

Demandez le Mémoire de « Martinique Province Française d’Amérique » au Front National Français.

 

Eu égard à l’Indépendance et à la Justesse de son analyse, il vaut pour tout Parti du Spectre Politique Français.

 

Il est au prix de Vingt Cinq Euros Net (25,00 €uros Net). Port gratuit par courrier postal ordinaire. Port forfaitaire de 7,50 €uros par courrier recommandé suivi. Règlement par tout moyen de paiement à l’ordre d’Éric E.G. NOGARD.

 

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